Nick Walker, le gentleman provocateur

Nick Walker, le gentleman provocateur

Son Street art est humoristique, ironique et provocateur… Il amuse autant qu’il irrite !

Issu de la scène Graffiti londonienne, Nick Walker est un artiste peintre né en 1969 à Bristol en Angleterre (comme Banksy). Spécialiste du Graffiti au pochoir et des figurations diverses, il fait souvent apparaître un gentleman ‘Vandale’ coiffé d’un chapeau melon.

Nick Walker devient rapidement une des figures emblématiques du mouvement Street art UK, il évolue sur le marché de l’art urbain depuis plus de 20 ans. Il vit et travaille actuellement à Bristol (U.K).

Il se plait à rire avec tendresse de chefs d’œuvre de l’Art (comme de la peinture de la Joconde qu’il réinterprète entre autre sous les traits de Marge Simpson),et sur des sujets de société brûlants (comme sa fresque murale baptisée ‘Corancancan’, où il livre son interprétation de la polémique autour du port de la burqa en France).

Au début des années 80, le Hip hop arrive en Angleterre et Nick Walker débute le Graffiti.

Il a toujours aimé dessiner. Passionné de bande dessinée et surtout du travail de Giraud et Moebius, il trouve sa vocation lorsqu’il visionne une vidéo de l’artiste Dondi White en pleine action. En 1982 lorsqu’il débute son activité de writers, il est fasciné par le mouvement Graffiti américain et cherche surtout à reproduire la perfection du lettrage et du style de ces pionniers.

En 1992, il ajoute la technique du pochoir à celle du Graffiti traditionnel. Il introduit des clichés photographiques qu’il juxtapose avec sa peinture ‘free style’, pour détourner ou recréer – sur n’importe quelle surface, un univers précis et livre un message engagé.

En 1999, le célèbre réalisateur de cinéma Stanley Kubrick fait appel à son talent pour recréer l’atmosphère Graffiti des rues de New-York pour son film ‘Eyes Wide Shut’.

Le ’Vandale’, un personnage au chapeau melon… so british !

Nick Walker a choisi ce personnage pour son côté ‘propret’ : Costume rayé tiré à quatre épingles, chapeau melon, parapluie, journal… Un stéréotype de l’anglais qui parle à tous ! Un personnage qui véhicule une image de confiance, mais qui reste aussi à étudier à la loupe…

Dans sa série sur toile « Le jour d’après », l’artiste fais intervenir son personnage fétiche dans des villes iconiques – aux quatre coins du monde.

Un artiste qui se vend bien : ses œuvres ont atteint des records en salles des ventes

En 2008, une de ses toiles Mona Lisa a été vendu pour plus de dix fois sa valeur estimée lors d’une vente aux enchères chez Bonhams.

Nick Walker a exposé de nombreuses fois à l’international : Londres, Bristol, New-York, San Francisco, Los Angeles, Washington DC, Berlin, Paris, Tokyo – seul ou bien en exposition collective. Source

Si vous possédez une œuvre de Nick Walker , nos experts et spécialistes en street art - art urbain vous délivrent gratuitement une estimation sans engagement de votre part. Nous organisons régulièrement des ventes privées et ventes aux enchères publiques 

 

 

Nick Walker expertisez