Louis Ancillon, la sensibilité méditérranéenne
Louis Ancillon
« Formé à l’école de Cézanne, de Lhote, de Braque et de Villon, heureusement influencé par un Matisse qui lui a communiqué son goût des couleurs claires et franchement étalées », selon les mots de Jean Rousselot, Ancillon combinait en ses tableaux « la rigueur géométrique des cubistes et néocubistes et la sensibilité chaude des Méditerranéens ». Ses amis peintres, parmi lesquels Brianchon et Legueult, se situaient comme lui dans ce que l’on appelait le courant de la Réalité, ayant opté pour une figuration indépendante et moderne de la vie quotidienne, résolument éloignée des diktats de l’abstraction intégrale.
Ancillon avait choisi d’emblée d’exposer dans les Salons de peinture accueillant les tendances les plus nouvelles : Tuileries, Automne, Indépendants et la plupart du temps
Les critiques d’art remarquaient les qualités de ses oeuvres parmi bien d’autres.
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