Charles Virion, artiste sculpteur de Haute Claire
Qui était Charles Virion ?
Voici un joli témoignage, vibrant d'émotions de la fille de l'artiste Charles Virion que nous vous invitons à lire.
Voici un joli témoignage, vibrant d'émotions de la fille de l'artiste Charles Virion que nous vous invitons à lire.
Le peintre d'origine suisse Gérard Schneider ( 1896 -1986 ) est sans doute l'un des plus grands maîtres de l' "Abstraction Lyrique ", et de ce mouvement qui marque le triomphe de l'art abstrait dès la fin de la seconde guerre mondiale.
On peut citer de nombreux autres peintres, qui à ses cotés, au travers le monde, ont écrit l'histoire de l'art du XXème siècle, comme les français Bazaine, Debré, Estève, Fautrier, Manessier, Mathieu, Soulages, les russes Poliakoff, de Staël, l'allemand Hartung, l'américain Jenkins, la portugaise Vieira da Silva, le chinois Zao Wou Ki, le canadien Riopelle, le Hollandais Bram Van Velde, parmi d'autres ... Mais dans ce mouvement de l'art abstrait, si créatif et si diversifié, il est l'un de ceux avec Hans Hartung, et Pierre Soulages, qui se distingue, par une pratique picturale qui laisse toute la place à la spontanéité du geste.
C'est à l' âge de quatorze ans ans, à Neuchâtel, qu'il découvre la peinture, en se passionnant pour Raphaël et Léonard de Vinci, au travers les livres, qui lui sont prêtés par son professeur Alfred Blailé. Mais très rapidement, à partir de 1919, il trouve également dans les oeuvres de Delacroix, Courbet ou Cézanne, matière à sa propre inspiration, lorsqu'il est reçu à l'Ecole Nationale des Beaux Arts de Paris, en suivant les cours du peintre Cormont, qui fut le professeur de Van Gogh et de Toulouse Lautrec.
Jusqu'à la veille de la guerre 1939-1945, il travaille en perfectionnant sa connaissance de la peinture, il restaure des tableaux anciens, il compose ses premières oeuvres abstraites, dont " Figures dans un jardin " en 1936, et s'adonne aussi à la musique, une autre passion.
Mais c'est l'année 1944 -1945, qui constitue un tournant dans l'oeuvre de Schneider. Dans un désir permanent de recherche, de renouvellement et d'invention, et en se présentant comme un peintre totalement abstrait et subjectif, il s'oppose aux idées d'artistes tels que Bazaine, Manessier ou Lapicque, qui affirment puiser leur inspiration dans la nature.
En 1947, Gérard Schneider expose pour la première fois avec Hans Hartung et Pierre Soulages au Salon des Surindépendants, en présentant avec eux des oeuvres très sombres, puis expose treize tableaux la même année à la Galerie Lydia Conti, qui lui valent la faveur des critiques.
L'année suivante, il est invité à la Biennale de Venise, où il est considéré comme l'un des artistes les plus significatifs de l'avant garde. Il expose une seconde fois à la Galerie Conti, et prend la nationalité française, pour décider finalement de rester à Paris.
Après avoir expérimenté de multiples techniques, il en arrive à une expression gestuelle de sa technique, où formes et couleurs éclatent avec force, émotion, passion, dans un romantisme moderne, où l'instantanéité et la véhémence dominent, traversées par des éclairs de joie ou de lumière.
" Il faut voir, dit-il, la peinture abstraite comme on écoute la musique, sentir l'intériorité émotionnelle de l'oeuvre sans lui chercher une identification avec une représentation figurative quelconque. Ce qui est important, ce n'est donc pas de voir l'abstrait, c'est de le sentir. Si une musique me touche, m'émeut, alors j'ai compris quelquechose, j'ai reçu quelquechose "
" Dans ce que je considère comme une évolution naturelle j'ai surtout apprécié la théorie surréaliste de la libération du subconscient. L'abstrait c'est la libération de tout conditionnement extérieur, c'est l'aboutissement d'un processus de création individuelle, de développement personnel dont les formes n'appartiennent qu'à moi-même. J'assimilerai cette démarche à l'improvisation musicale: quand je fais du piano pendant plusieurs heures, il m'arrive d'improviser en fonction d'un état psychologique précis; en peinture quand je prends une brosse ou un pinceau, une mécanique de création se déclenche et ma main vient porter un signe, préciser une forme, qui dépend de mon état intérieur; c'est une improvisation, une création spontanée."
Il se joint de 1949 à 1952 à ses amis Hartung et Soulages, pour participer à de multiples expositions, par lesquelles les critiques, dont en premier lieu l'écrivain Michel Ragon, les dénommeront les maîtres de " l'abstraction lyrique ".
Les années 1951à 1961, verront l 'affirmation de l'oeuvre en France et la consécration de Gérard Schneider à l'étranger, en Allemagne, en Belgique, en Italie, d'abord, au travers multiples expositions, dont celles de Tokyo et d'Osaka au Japon en 1960, où il est reconnu comme l'un des artistes contemporains parmi les plus considérables, puis aux Etats-Unis, où de nombreuses galeries, comme en particulier la Galerie Kootz, organisera durant cette période pas moins de cinq expositions consécutives.
Les années 1962 à 1972 sont les années " lumière " de Schneider. Ses talents de coloristes prennent de l'amplitude, les aplats de couleurs monochromes gagnent de l'espace dans la toile, elles deviennent forme et les formes deviennent couleurs.
En 1975, l'artiste reçoit le Grand Prix National des Arts, en France, attribué par le Ministère de la Culture, qui est une reconnaissance tardive, mais officielle par son pays d'adoption, de l'importance de son oeuvre.
Sa ville de naissance, Neuchâtel, en Suisse, lui consacre en 1983 une importante rétrospective, ainsi que la ville de Dunkerque, tandis qu'il poursuit son oeuvre avec des grandes compositions de peintures acryliques sur toile ou de gouache sur papier, toutes empreintes de lumière et de flamboyance, qui resteront parmi les plus belles. Il meurt le 8 juillet 1986. Source : le monde des arts
Revenons tout d'abord sur quelques éléments biographiques concernant Serge Poliakoff.
Jean Bazaine, né le 21 décembre 1904 à Paris 17e, mort le 4 mars 2001 à Clamart, est un artiste français.
George Lavroff naît en Sibérie le 18 avril 1895. Sa production comment en Sibérie puis à Moscou.En 1927, il part en France créant de nombreuses sculptures animalières art déco. Les sculptures de Lavroff, en bronze et en céramique, animent très rapidement une belle réputation. .De retour en Russie en 1935, George Lavroff devient artiste officiel et crée, en rapport avec ce statut et le régime soviétique, des sculptures monumentales et des bustes des dirigeants soviétiques. Le sculpteur George Lavroff s'éteint le 29 août 1991.
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D’origine franco-iranienne, Parvine Curie est née à Nancy en 1936. Son enfance à Troyes a été marquée par les tours, les colonnes et les voûtes qui jalonnent la ville. Sa jeunesse, bouleversée par de fréquents déplacements, s’ancre dans l’imaginaire de la littérature et des arts. Elle fait ses études à Bordeaux, passe son bac à Paris, où ses parents tiennent une pharmacie, entreprend des études linguistiques et part découvrir l’Angleterre, l’Autriche, l’Espagne et l’Italie. De caractère réservé mais ouvert, sa curiosité vive favorise des amitiés dans les milieux internationaux d’artistes et d’intellectuels.
La découverte de l’art roman catalan l’incite, dès 1957, à partager son temps entre la France et l’Espagne.
Demeter Chiparus (1886-1947)
De son vivant, malgré sa discrétion légendaire, de Grandes rétrospectives sont organisées au Musée de Valence (1955) et au Palais de la Méditerranée à Nice (1969), tandis que le Musée d’Art Moderne de Paris lui rend un hommage posthume en 1979. Et si quelques monographies sont consacrées à son œuvre, ses admirateurs regrettent, qu’elles ne lui aient pas encore permis de trouver sa juste place, dans l’histoire de l’art du XXième siècle.
Jean Fautrier est considéré avec Jean Dubuffet, comme l’un des peintres le plus représentatif de l’art informel en France, avec son plein essor dans la période de l’après-guerre de 1945 à 1960. Mais il choisit de toujours rester de son vivant à l’écart de la scène artistique officielle.
L’art informel regroupe à la fois le courant de l’abstraction lyrique avec ses techniques d’expressions essentiellement gestuelles, le matiérisme sont l’objet est de travailler les matières sur les surfaces de la toile, et par rapprochement, le spatialisme dont les recherches portent sur les dimensions de l’espace et du temps et sur la lumière.
D’autres courants, comme le mouvement CoBrA, le Groupe Gutai, l’expressionnisme abstrait en Allemagne, l’Action Painting aux Etats-Unis de Jackson Pollock peuvent être rapprochés aussi de ce mouvement pictural de la fin du XXème siècle.
Jean Fautrier est né le 16 Mai 1898 à Paris et, à la mort de son père, il est recueilli par sa grand-mère irlandaise. Au début des années 1910, il s'installe avec sa mère à Londres et entre admis à la Royal Academy dès l'âge de ses quatorze ans. Il est très marqué dès cette époque par les travaux de Turner qui restera pour lui une référence tout au long de sa vie.
En 1917, il est mobilisé dans l'armée française et se trouve gazé dans les tranchées près de Montdidier.
Il parvient à se rétablir et s'installe à Paris après la guerre et expose pour la première fois en 1921, date à laquelle commence véritablement sa carrière de peintre. Il se lie d’amitié avec André Malraux qui lui fait connaître le milieu intellectuel parisien.
Il expose ses premiers tableaux à la Galerie Fabre en 1923, et réalise en 1927 une série de peintures figuratives portant sur différents thèmes tels que portraits, natures mortes, nus et paysages dans lesquelles les couleurs sombres prédominent. En 1933, il se partage entre sculpture, peinture, et gravure, et réalise une édition illustrée de l’Enfer de Dante pour les Editions Gallimard, qui finalement n’aboutira pas.
Ses quelques succès en peinture ne lui suffisent pas et il décide de devenir moniteur de ski à Tignes. En 1934, il crée là une boîte de jazz dont il gardera la gestion jusqu’en 1939. De temps en temps, il continue cependant de peindre.
De retour à Paris, il noue des liens d’amitiés avec Francis Ponge, Paul Eluard, Georges Bataille et Jean Paulhan. Il s’engage peu après dans la résistance, et se réfugie courant 1943 dans la clinique du Docteur Le Savoureux installée dans l’ancienne maison de Chateaubriand à Châtenay Malabry.
En 1943, il réalise sa vingt-deuxième et dernière sculpture, la grande « Tête d'otage », tandis qu’il utilise la Villa Barbier abandonnée, proche de là, comme cache d’armes pour les résistants.
Il poursuit là en même temps ses activités artistiques, et notamment la série intitulée « Les Otages » très marqué qu’il est par l’occupation allemande et par les exécutions perpétrées à quelques pas de là, dans l’actuel « Mémorial des Fusillés ».
En 1945, à la fin de la guerre, Jean Fautrier décide de louer la Villa Barbier et de s’y installer avec sa famille. Il travaille à l’illustration de différents livres, dont ‘ L’Alleluiah » de bataille. Il expose cette même année à la Galerie Drouin, avec un catalogue d’oeuvres présentées par André Malraux.
Mais Jean Fautrier ne parviendra pas à une réelle sécurité matérielle avec la vente des ses tableaux, et déçu par ses ventes, il essaie avec sa compagne Janine Aeply , en 1950 de mettre au point un procédé de production,
« les originaux multiples » lui permettant de vendre des peintures moins chères qu’elles ne sont proposées par les galeristes.
Entre 1953 et 1956, Jean Fautrier poursuit ses expositions en France et à l’étranger, malgré le faible succès de ses oeuvres.
En 1956 , en réaction à l'invasion de Budapest par les russes il reprend le motif des « Otages » pour la suite des « Têtes de partisans », comme variations sur le poème de Paul Eluard "Liberté, j'écris ton nom" écrit en 1942.
Il poursuit son travail les années qui suivent avec des toiles plus structurées dans lesquelles se superposent et s’entrecroisent des lignes colorées, des stries, et grilles à plusieurs côtés
En 1960, il reçoit le Grand Prix de la Biennale de Venise et fait en 1963 deux donations importantes, l’une au Musée d’Ile de France dont « Les Otages » et l’autre
au Musée d’Art Moderne de Paris.
Une grande exposition de son oeuvre est organisée durant l’été 1964, qu’il n’aura pas le temps de visiter, car il décède à Châtenay Malabry le 21 juillet 1964, le jour où il devait épouser Jacqueline Cousin, la compagne qui partageait sa vie à la Maison Barbier depuis deux ans.
Georges Mathieu
Cette exposition-dossier du musée des Beaux-Arts est en partenariat avec la DRAC Aquitaine et le Centre Pompidou présentée dans l'aile nord du musée du 15 mai au 24 août 2014 (entrée libre)
L’histoire commence en 1924. Jean Lurçat, peintre renommé, connu pour avoir renouvelé l’art de la tapisserie en France, et son frère André, jeune architecte, ont le projet de créer une cité d’artistes. La ruelle prendra le nom de Villa Seurat, en hommage au peintre pointilliste, et accueillera résidences et lieux de travail de nombreux créateurs. En 1926, la sculpteur Chana Orloff y fait construire sa maison-atelier par l’architecte Auguste Perret.
Nature morte aux fruits
Jean Puy, né le 7 novembre 1876 à Roanne, où il est mort le 6 mars 1960, est un peintre français proche du fauvisme.
Artiste espagnol, les sculptures de Balthasar Lobo sont un hommage à la femme, source d'inspiration sans cesse renouvelée : femme nue, femme et enfant, autant de déclinaisons de l'artistes au travers d'un style très personnel fait de courbes si typiques de l'artistes
Né à Venise en 1933, Lorenzo Burchiellaro travaille princpalement le métal tels le brozne, le zinc, l'alluminiumn l'or ou l'argent, mais sa préférence va au cuivre. Les couleurs sont les résultats d'un processus naturel provenant de l'application d'acide, d'oxydation et de chauffage qui contribue à rendre un effet chromatique hors pair.
Takis Vassilakis est un sculpteur grec né en 1925 à Athènes. Son œuvre est influencée par l’invention du radar en 1955 et lorsqu’il découvre les champs magnétiques en 1958. Il utilise la force invisible de l’électromagnétisme pour créer une atmosphère mystérieuse issue des signaux ferroviaires. Ses premiers signaux sont des tiges métalliques flexibles qui clignotent puis il fait danser des boules géantes suspendues grâce à l’action de l’électro aimant. En ajoutant des amplificateurs il fait résonner ses sculptures d’une musique hiératique impressionnante. Il rencontre Marcel Duchamps en 1961, et est cité dans le « New Scientist » à coté de Yannis Xenaxis et Jonh Cage comme un des musiciens les plus prometteurs du siècle.
Ses œuvres font parties de nombreuses collections privées et public dans le monde entier. Trois de ses signaux sont exposés dans la collection permanente du Musée Georges Pompidou à Paris.
est une artiste peintre russe (1884-1967). Son nom de jeune fille d'origine française Lanceray parfois directement du russe Lansere. Elle naît dans un famille d'artiste : son grand-père était un célèbre architecte, son père un sculpteur. Zinaïda étudie en Italie puis à Paris.
(né en 1896 à Prague, Autriche-Hongrie - mort en 1993 à Maisons-Laffitte, France) il était un artiste polonais,peintre, écrivain, essayiste et critique d'art, qui traversa le xxe siècle, et combattit comme officier de l'armée polonaise au cours de la Seconde Guerre mondiale. Il fut l'un des rares survivants des massacres d'officiers perpétrés en 1940 par l'Union soviétique.
L'artiste peintre française Louise Abbéma naît en 1853 à Étampes. Elle décède en 1927 à Paris.
Fils d’Amédée Alluaud, l’un des grands animateurs de la vie culturelle limousine sous le Second Empire, Eugène Alluaud est l’un des membres les plus assidus de la colonie creusoise, autour de Rollinat et de Guillaumin.
Jeune paparazzi en 1972 à l’agence Sipa Press puis à l’agence Angeli, Francis Apesteguy commence sa carrière de photographe tel un "matador" qui surprend les stars les plus illustres de l’époque. Il rentre à l’agence Gamma en 1977 et y passe 30 ans en réalisant des reportages à travers le monde qui aiguisent sa dextérité.
Albert Féraud fait ses études aux écoles des beaux-arts de Montpellier, de Marseille et de Paris dans l’atelier d’Alfred Janniot. Il est premier grand prix de Rome de sculpture en 1951. Entre 1950 et 1960, il exécute de nombreuses œuvres en pierre ou en bronze.
Carlos Cruz-Diez est l’un des acteurs majeurs et l’un des principaux représentants de l'art optique. Il est né à Caracas, auVenezuela, le 17 août 1923, mais il vit et travaille à Paris depuis19601. Ses multiples investigations ont apporté une nouvelle approche sur le phénomène de la couleur dans le domaine de l’art en développant notamment l’univers perceptif de celle-ci. Il est président de la Fundación del Museo de la Estampa y del Diseño Carlos Cruz-Diez à Caracas et membre de l’Orden de Andrés Bello (OAB). En 2005, sa famille créa la Cruz-Diez Fondation2 dédiée à la conservation, développement, diffusion et investigation de l’héritage artistique et conceptuel de l’artiste.
Sir Edwin Landseer, né le 7 mars 1802, mort le 1er octobre 1873, est un peintre et sculpteur britannique.
La sculpture animalière est un genre de sculpture qui se caractérise par des œuvres dont le sujet principal est un animal, domestique, sauvage ou imaginaire.
L'œuvre de Charles KVAPIL (1884 - 1958) est influencée par le fauvisme. Il a fait partie de l'Ecole de Pairs et, tout en habitant à Montmartre, il fréquenta les artistes de Montparnasse. Dès 1920, il expose au Salon des Indépendants.
Walasse Ting (13 octobre, 1929 à Shanghai – 17 mai 2010) est un artiste et poète américain d'origine chinoise. Parfois, on se sert de son nom chinois 丁雄泉 "ou ses traductions en mandarin et cantonais: Ding Xiongquan ou Ting Hsiung-ch'uan.
Arcangelo Ianelli (São Paulo, SP, 1922 - idem 2009). Peintre, sculpteur, illustrateur et dessinateur. Il apprend le dessin en autodidacte. En 1940, il étudie la perspective à l'Associação Paulista de Belas Artes [Association Pauliste des Beaux-Arts] et, en 1942, est orienté en peinture par Colette Pujol (1913 - 1999). Deux ans après, il fréquente l'atelier de Waldemar da Costa (1904 - 1982), avec Lothar Charoux (1912 - 1987), Hermelindo Fiaminghi (1920) et Maria Leontina (1917 - 1984). Dans les années 1950, il fait partie du Grupo Guanabara [Groupe Guanabara], avec Manabu Mabe (1924 - 1997), Yoshiya Takaoka (1909 - 1978), Jorge Mori (1932), Tomoo Handa (1906 - 1996), Tikashi Fukushima (1920 - 2001) et Wega Nery (1912), entre autres. À partir des années 1940, il produit des scènes du quotidien, des paysages urbains et des marines révélant une grande synthèse formelle et une gamme chromatique de tons rabaissés. Vers les années 1960, il reprend l'abstractionnisme et réalise des toiles présentant une densité de matière et des couleurs sombres. À la fin des années 1960, son oeuvre est à la fois linéaire et picturale. L'emploi des graphismes s'y distingue. À partir de 1970, il se dirige vers l'abstraction géométrique et utilise principalement des rectangles et des carrés, en plans superposés et inter-pénétrés. Parallèlement, depuis la moitié des années 1970, il sculpte des oeuvres en marbre et en bois dans lesquelles il reprend des questions constantes de l'oeuvre picturale. En 2002, il commémore ses 80 ans avec la rétrospective organisée à la Pinacoteca do Estado de São Paulo - Pesp [Pinacothèque de l'Etat de São Paulo].
Ferdinand Hodler est un peintre suisse, né le 14 mars 1853 à Berne et mort le 19 mai 1918 à Genève.
Les prix adjugés oscillent pour les tableaux entre 6.000 et 200.000 euros.
Oscar Ribeiro de Almeida de Niemeyer Soares (né le 15 décembre 19071 à Rio de Janeiro, où il est mort le 5 décembre 2012) est un architecte et un designer brésilien.
Eduardo Arroyo (né le 26 février 1937 à Madrid) est un peintre, lithographe et décorateur de théâtre espagnol. Ayant quitté l'Espagne franquiste en 1958, il se partage depuis lors entre Madrid et Paris. Proche de Hervé Télémaque, il fut comme lui un des représentants majeurs de la Nouvelle figuration et un des fondateurs du mouvement de la figuration narrative. son style se caractérise par une relative absence de profondeur et une perspective frontale en aplat.
Antoniucci Voltigero, dit « Volti », né le 1er janvier 1915 à Albano (Latium), Italie et mort à Paris le 14 décembre 1989 (à 74 ans), est un artiste français d'origine italienne.
Fils d'artisans céramistes, Martial Raysse choisira la peinture au détriment de l'écriture avant de réaliser ses premiers assemblages de détritus et d'objets divers présentés dans des boîtes de plexiglas. Il développe ensuite son concept "d'hygiène de la vision" à partir objets neufs en plastique de la nouvelle société consumériste: "J'ai voulu un monde neuf, aseptisé, pur et au niveau des techniques utilisées, de plain-pied avec le monde moderne." Il séjournera aux Etats-Unis, se rapprochera du Pop art. L''image sensuelle et artificielle de la femme deviendra la figure principale de ses "Tableaux-Objets" aux couleurs acidulées.
Raysse introduira ensuite le néon dans ses toiles. "J'ai découvert le néon. C'est la couleur vivante, une couleur par delà la couleur ". L'artiste adoptera une démarche de réduction des moyens plastiques et de simplification de la représentation à la fin des années 60. Il fera usage de toutes les techniques de production des images, notamment la photographie et la sérigraphie. La représentation des formes sera progressivement simplifiée à des silhouettes découpées dans du carton, du papier, du tissu pour donner naissance à des "Formes en liberté" proches de l'Art pauvre.
Raysse se tournera vers le cinéma et la vidéo avant d'opérer un retour à des formes d'expression plus traditionnelles dans les années 1970-1980. Il vit et travaille à Issigeac.
André Beaudin (né le 3 février 1895 à Mennecy, décédé le 6 juin 1979 est un peintre et sculpteur français appartenant à l'École de Paris, dont l'œuvre s'inscrit dans la suite du cubisme à la limite de la non figuration.
Pierre Soulages, né le 24 décembre 1919 à Rodez dans l'Aveyron, est un peintre et graveur français associé depuis la fin des années 1940 à l'art abstrait. Il est particulièrement connu pour son usage des reflets de la couleur « noir », qu'il appelle noir-lumière ou outre-noir. Ayant réalisé plus de 1 500 tableaux qu'il intitule tous du mot « Peinture » suivi de leur format (la date y figure ensuite en tant que complément hors titre, il est un des principaux représentants de la peinture informelle. Suite
Théo Tobiasse, est né en Israël en 1927. Sa famille qui venait de Lituanie espérait y trouver la terre promise.
L’œuvre de cet artiste est imprégnée de l’exil, de la femme mère-amante, et de réminiscences de l’enfance en Lituanie lorsque ses parents durent y retourner. La datcha dans la verdoyante campagne de Kaletova, les lumières des bateaux à roue pavoisés sur le Niémen, les traîneaux dans les rues enneigées de Kovno, mais aussi les théières rondes et les samovars ventrus, symboles de la chaleur familiale…
Après avoir traversé l’Allemagne, Berlin, Tobiasse arrive à Paris en 1931 où une gare triste et grise l’accueille au petit matin. S’ensuivent les années obscures de l’Occupation nazie où la famille restée cachée pendant deux ans, est malgré tout décimée. A la libération, Tobiasse ne rêve plus que de lumière, de soleil et de ciel immense.
Francesco Marino est né en 1920 à Teana, un village de montagne de Basilicate, dans le sud de l'Italie. D'origine très modeste, il part à 16 ans pour l'Argentine où il travaille comme maçon puis comme chef de chantier dans le bâtiment. Il suit des cours du soir à l'Ecole Polytechnique où il se spécialise dans la mécanique industrielle et l'architecture.
Lucio Fontana (1899-1968) est, avec Giorgio de Chirico, l’un des artistes italiens qui a le plus marqué le 20esiècle. Pour la première fois en France depuis 1987, le Musée d’Art moderne de la ville de Paris présentera cet artiste considéré comme un des grands visionnaires de son temps. Une rétrospective qui tentera de cerner un parcours atypique marqué de changements de styles à travers plus de 200 sculptures, toiles et céramiques.
Huile sur toile figurant un Bouquet de fleurs coloré
Signée en bas à droite
73 x 54 cm
« Christoforou s’inscrit dans la lignée des artistes qui, au cours des siècles, ont à un moment ou à un autre de leur existence vécu les misères humaines avec une telle intensité et une telle douleur qu’ils en ont fait le thème de tableaux devenus des chefs-d’oeuvre… L’artiste s’en prend aux défaillances de l’homme et les oeuvres qu’il réalise après 1972 expriment, dans des scènes pleines d’intensité dramatique, l’indignation, l’ironie ou l’amertume que lui inspire la société tout entière. Un monde fantastique, d’où surgissent des créatures inquiétantes, envahit dès lors sa peinture. Plusieurs tableaux constituent l’un des plus durs réquisitoires contre la barbarie humaine exprimé dans un style nouveau, un expressionnisme farouche ouvrant sur l’art du XX° siècle…
Fikret Moualla, né à Istanbul en 1903, fait parti d’une grande famille turque. Légèrement handicapé à la suite d’un accident et traumatisé par la mort prématurée de sa mère, dès l’âge de 15 ans, il sombre dans la révolte et l’alcoolisme, ce qui lui vaut de nombreuses hospitalisations.
Il a souvent peint des scènes historiques telles que Louis XIV et Molière (1863), La réception des ambassadeurs du Siam à Fontainebleau (1865) et La mort du Maréchal Ney (1868).
C’est l’un des peintres orientalistes les plus célèbres et les plus talentueux. Peintre prolifique, infatigable voyageur, ayant côtoyé les plus grands peintres orientalistes français, ses tableaux ont un succès mérité. Il étudie à Parme puis en autodidacte. En 1848 les soulèvements nationalistes le poussent à s’engager auprès de Volontaires de Modène, ce qui lui vaut l’exil en 1849. Il se rend à Genève où il rencontre Delacroix, Decamps, Théodore Rousseau, Dupré et Isabey. Il participe au Salon de Paris en 1853. Il entre dans l’atelier de Chassériau puis effectue un voyage en Perse en 1855 à la place de Chassériau, malade, pour accompagner une mission secrète auprès du Shah de Perse Nasr-el-Din. Ses croquis lui permettent de réaliser des peintures à son retour à Paris. Ce voyage sera déterminant pour Pasini : les paysages, les personnages, l’atmosphère, la lumière, les monuments des contrées traversées vont laisser une empreinte durable et des sentiments très vifs qu’il retranscrit dans ses toiles. Il voyage ensuite en Egypte et à Constantinople en 1867. Lors de ce séjour, le Sultan Abdulmecit lui achète deux tableaux. Il remporte de nombreux prix artistiques. Au déclenchement de la guerre franco-prussienne, il retourne en Italie et continue ses voyages. Il est fait Chevalier de la Légion d’Honneur en 1878.
Elève de l’Ecole des Beaux-Arts de Dijon puis de l’académie Julian à Paris, Paul Cirou débute au Salon de la Société des Artistes Français en 1898. Il expose régulièrement des paysages ainsi que les meubles de sa création, en particulier au Salon des Indépendants. Il découvre l’Algérie en 1907, où il se rend pour des raisons de santé, puis s’y installe vers 1912. A partir de 1920 et jusqu’en 1932, il vit à Tlemcen, puis, de 1933 à 1935, à Mascara, avant de revenir en France. L’Etat lui achète des œuvres, dont une toile 200 x100cm,Porteuses d’eau Kabyles, conservée au Musée des Années 30 à Boulogne-Billancourt.
Après 1899, Odilon Redon abandonne la lithographie et le fusain. Les Noirs font place à une couleur rutilante que l’artiste aborde dans des œuvres au format de plus en plus grand.
Le chef d’oeuvre de Rossif en DVD! Musique de Vangelis www.georgesmathieu-themovie.com Voici pour la première fois, en copie neuve, entièrement restauré, plus de 30 ans après sa réalisation, ce chef d’oeuvre oublié du 7ème art, narrant, avec les mots de François Billetdoux, l’aventure prométhéenne de Georges Mathieu. Sous l’oeil des caméras de Frédéric Rossif, Mathieu exécute L’Election de Charles Quint et La Nécessité de l’Espérance sur la musique improvisée de Vangelis. Eclats de tournage, merveilleuse rencontre de personnalités hors normes, qui par ce film, nous lèguent ce sentiment de grâce, où la vie portée par les forces cosmiques et la beauté de l’âme, exalte en nous, par la magie du grand écran, cette fureur suprême de la Création.
Artiste tout à fait singulier dans l’histoire de l’art du XXème siècle. Accédant à la notoriété de son vivant, il se distingue dans l’art contemporain par l’aboutissement exceptionnel auquel il a conduit la peinture abstraite géométrique, sous le nom de cinétisme. Toute son œuvre s’inscrit dans une grande cohérence, de l’évolution de son art graphique jusqu’à sa détermination pour promouvoir un art social, accessible à tous.
De 1870 à 1950, deux générations d’artistes, venus des quatre coins du monde, sont tombées sous le charme de la conque de Cornouaille. Autour de la cité moyenâgeuse, ville close protégée sur son îlot, étaient rassemblés tous les motifs pour plaire aux artistes amateurs de pittoresque : un superbe patrimoine architectural, une population active de marins, d’ouvrières et de paysans en costumes traditionnels et une importante flottille. Inimaginable aujourd’hui, au début du 20ème siècle, le port a abrité parfois plus de 2000 navires en saison de pêche de juin à octobre et jusqu’à 650 thoniers. Ce spectacle haut en couleur, sons et lumières, émerveille peintres et photographes bien accueillis par la population locale. Naturalistes, réalistes, néo et post-impressionnistes s’y sont côtoyés ou succédés par dizaines. Petits-maîtres sensibles à la vie quotidienne comme Henri Barnoin, à la beauté du port et aux coutumes locales, ils nous ont légué des témoignages des grandes heures de la vie concarnoise au pied des fortifications d’une ville close, quatrième place forte de Bretagne. Ce ne fut certes pas la révolution picturale comme à Pont-Aven, la cité voisine, mais, durant quasiment un siècle, un moment d’état de grâce pour Concarneau.
Élève de Jean-Paul Laurens, Gustave Surand expose dès 1881 au Salon des Artistes Français.
Henri Martin (1860-1943) est un peintre influencé par les néo-impressionnistes mais classé comme symboliste poétique et surtout très apprécié des institutions au début du XXème siècle, réalisant à la commande, portraits officiels et décors de mairies. Couvert d'honneurs par la IIIe République, il a notamment réalisé des décorations pour le Capitole de Toulouse, la Sorbonne, l'Hôtel de Ville de Paris, le Conseil d'Etat ou un salon de l'Elysée. Mort en pleine deuxième guerre mondiale, son nom est aussitôt tombé dans un oubli relatif.
Il faut distinguer les tirages multiples réalisés en collaboration avec les éditons Artcurial, des sculptures en bronzes tirées généralement à 9 exemplaires pour cet artiste.
« Je suis un dessinateur en barreaux de chaises » s’amusait à dire Pierre Paulin (1927 – 2009) en faisant référence à sa collaboration avec Thonet.
En 1904, la famille Orloff émigre en Israël, chassée par les pogromes. Six ans plus tard, Chana part pour Paris. Son intention est d’obtenir un diplôme de couture. Elle travaille chez Paquin qui la remarque et l’encourage à développer ses dons artistiques.
Après une formation classique à l’Ecole Nationale des Arts Décoratifs, elle étudie la sculpture à l’Académie Russe à Montparnasse. C’est alors qu’elle se lie avec Soutine, Modigliani, Pascin, Zadkine…
Dès 1937, Fernand Léger s’intéresse à la décoration murale. S’il utilise la peinture pour des créations telles que Le Transport des forces, commande de l’Etat pour le pavillon français de l’Exposition universelle et la maison de Rockefeller, ses décorations murales pour l’hôpital de Saint-Lô et le restaurant de La Colombe d’or à Saint-Paul-de-Vence sont respectivement réalisées en mosaïque et en céramique. L’intérêt de l’artiste pour cette dernière technique va croissant et dès 1950, il vient régulièrement à Biot où l’un de ses anciens élèves, Roland Brice et son fils Claude, tous deux céramistes, sont installés. Une collaboration fructueuse s’établit alors entre le peintre et les céramistes qui travaillent à partir des dessins de l’artiste.
Cette exposition présente environ quatre-vingt œuvres du musée et de collections particulières, des documents et des photographies qui témoignent de la créativité de Léger dans ce domaine, ainsi que des œuvres préparatoires et différents essais.
Après des recherches sur le plomb, au cours de ce que l’on peut appeler la période des « empreintes », plus ou moins archaïsantes, riches d’une belle puissance de suggestion dans l’immobilité rituelle, qui pourrait faire penser à une influence subtile de Giacometti et de Germaine Richier, et à travers eux, de divers arts « primitifs », Albert Féraud s’oriente vers des travaux en fer soudé puis en acier inoxydable. C’est l’époque de ses deux premières expositions importantes, en 1960 et 1961, à la Galerie 7 de Paris. Chaque année depuis lors, une exposition lui est consacrée tant en France qu’à l’étranger (Bâle, Zurich, Montréal, Lucerne, Francfort, Berlin, Varsovie, Turin…). Une importante bibliographie est consacrée à l’œuvre de cet artiste dont le nom est lié, pour l’essentiel, à l’exploration des possibilités de ce nouveau matériau, l’inox, dont Albert Féraud est certainement l’un des plus habiles et les plus inspirés manipulateurs.
1895 – George Lavroff (Georgui Dimitrievitch Lavrov) naît en Sibérie à Nazkmoï près d’Enisseyske, le 18 Avril.
Né en Ukraine, Issachar ber Ryback suit ses études artistiques à l’Académie des beaux-arts de Kiev dès 1911 puis est envoyé en 1916, avec El Lissitzky, en expédition afin d’étudier l’art et l’architecture des synagogues à Moscou par la Société ethnographique juive. Il s’installe définitivement à Paris en 1926 où son atelier est un lieu de rencontre pour des artistes et des intellectuels comme Chagall, Modigliani et Soutine. Il rejoint alors l’Ecole de Paris qui regroupe grand nombre d’artistes d’origine juive venus d’Europe de l’est et de Russie. Il rencontre alors Makowski, Zak, Markus, ou Mutermilch. A Paris, il adopte un nouveau style de réalisme, représentant la vie du “shtetl” russe et faisant ressortir le caractère distinctif et puissant de ses sujets yiddish. Il se lance, dans le contexte de la révolution russe, et élabore avec ses amis artistes une expression artistique spécifiquement juive, qui puisse concilier la tradition avec la modernité, dans laquelle le groupe s’engage. Au début des années 1930, l’artiste devient incontournable et est le sujet de nombreuses expositions dans les galeries parisiennes. A ses débuts proches des cubistes, il s’oriente vers des thèmes touchant au folklore juif par la suite. Son travail coloré et contrasté, avec des personnages qui semblent sculptés, montre que Ryback cherche sa propre voix dans une peinture qui semble, alors, plus spontanée.
Moïse Kisling est né le 22 janvier 1891 en Pologne à Cracovie. Il est décédé le 29 avril 1953 à la commune française de Sanary-sur-Mer dans le Var. Il était un peintre franco-polonais de l’École de Paris. Découvrons ensemble sa biographie et ses œuvres.
Voici les différents noms sous lesquels nous retrouvons cet artiste : Iwan Konstantinovicz AJWAZOWSKIJ , Ivan Konstantinovitch АAIVAZOVSKY , Hovannes AÏVAZOVSKI
Né à Nanterre (Hauts de Seine) Lle13 mars 1900 et mort à Clichy (Seine) le 29 décembre 1950.
Né en 1961 à Colmar, Jérôme Mesnager passe son enfance à Paris.
En 1974 il fréquente l’atelier de Jean Pierre Le Boul’ch. De 1975 à 1979, il suit les cours de l’Ecole Boulle dont il sort ébéniste. En 1979 à l’Ecole des Arts Appliqués, il suit les cours de Bandes Dessinées de Got et Pichard. En 1982, il fonde deux associations. « Poudre d’or », lieu de travail et d’exposition et « Zig Zag dans la savane » dont le but est d’investir et de travestir les lieux désaffectés. Premières performances, le corps couvert de peinture blanche, il déambule dans ces espaces voués à l’oubli et à la démolition pour leur donner un nouveau souffle de vie. Le premier Corps Blanc nait en 1983 sur un des murs de la Petite Ceinture dans le cadre d’une journée Zig Zag. Le lendemain Jérôme Mesnager décide d’envahir les rues de Paris. « Corps Blanc symbole de la lumière, de la force et de la paix ».
Mesnager fait parti des peintres de la rue avec, en France, Miss Tic, Nemo, Speedy Graphito, Jeff Aérosol, les Moskos, E. Pignon-Ernest et bien d’autres…Aujourd’hui il vit auprès de sa femme Aude et de ses enfants, Louis, Paul et Blanche.
« Un tableau n’est plus une construction de couleurs et de traits, mais un animal, une nuit, un cri, un être humain, il forme un tout indivisible ».