Georges-André Klein, orientaliste à la cote timide

Georges-André Klein, orientaliste à la cote timide

Georges-André Klein

Peintre  voyageur à part entière, Georges André Klein (1901-1992) nous donne le choc des émotions successives. Portraits de femmes du désert, traditions du plus profond du Maghreb, Taroudant, Boussaâda, autant de visages chargés de gravité dans un décor de ferronneries en volutes, d’étoffes chamarrées, de mosaïques et de bijoux.
Peindre pour lui a toujours été un engagement profond, mêlant le drame et la joie, drame de se confesser totalement dans une oeuvre sans arrière-penssée, sans accorder la moindre concession au goût du moment, sans céder un tant soit peu à la mode.
« Ayant reçu le prix de l’Afrique du Nord en 1939, G.A. Klein séjourne en Algérie pendant les années de guerre, en particulier à Oran, où il expose souvent et dans le Sud Algérien à Ghardaïa. »*
Revenu en France en 1945, il part à nouveau au Maroc en 1952 puis séjourne en Italie et en Espagne avec Caillard. En 1958, il fait son second voyage à Madagascar où il rencontre sa femme Victoire à Amboasary.

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