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Christophe Fratin est né en 1801 à Metz et décédé en 1864 au Raincy, près de Paris. Selon les sources, son père aurait été cordonnier ou – ce qui aurait pourrait être l’origine de la vocation de son fils – empailleur d’animaux. Le jeune Fratin suivit des cours de dessin où il obtint quelques prix. Plus tard, il déclara qu’il avait été élève de Carle Vernet et Géricault entre 1821 et 1831, ce qui est possible mais semble-t-il pas absolument avéré. Dans les années 1833 et 1934, Fratin réalise des plâtres d’animaux et les expose. Aussitôt, il est érigé par les uns en rival sérieux de Barye, par les autres en imitateur cherchant bien vainement à ramasser quelques miettes de la gloire de son grand prédécesseur.
Durant ces vingt dernières années, la Russie a connu des transformations radicales : le passage à l’économie de marché et les privatisations ont mené à la formation de fortunes colossales (les nouveaux riches russes) et à l’émergence d’une classe moyenne à la recherche de placements exotiques. Qu’en est-il de l’art dans un tel contexte ? Sous le régime soviétique, 90 % des œuvres créées étaient achetées par l’État, les galeries n’étaient pas à leur place. À la chute de l’URSS, les prix de l’art ancien atteignant des prix trop élevés, les acheteurs se sont tournés vers l’art contemporain russe et l’art occidental, ce qui a provoqué une surchauffe du marché jusqu’en 2008 et correspond à l’essor économique général de 2000 à 2008. Depuis, les ventes d’art russe connaissent un grand enthousiasme. Néanmoins, depuis la première vente d’art russe organisée par Sotheby’s à Moscou en 1988, malgré son succès, tout se passe aujourd’hui à Londres, où l’on recense quelque 500.000 résidents russes. Le département a cessé en 2012 ses ventes new-yorkaises. Les plus importantes galeries moscovites ont mis la clé sous la porte. Et pourtant, la Russie est l’héritière d’une longue histoire.
Trois études de Lucian Freud, un triptyque de Francis Bacon datant de 1969, a été adjugé 142,4 millions de dollars (105,9 millions d’euros), mardi 12 novembre à New York, devenant l’œuvre d’art la plus chère du monde vendue aux enchères. Elle avait été estimée jusqu’ici à 85 millions de dollars (63,2 millions d’euros).