Adolphe La Lyre, l'Etoile, tableau

Adolphe La Lyre, l'Etoile, tableau

Adolphe La Lyre, l'Etoile, tableau, VENDU

Adolphe LA LYRE (1848-1933)

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Adolphe La Lyre, le peintre des sirènes

Adolphe La Lyre, le peintre des sirènes

Qui était La Lyre,  ce peintre prolifique  et mal connu aujourd’hui ?

Adolphe Lalire est né le 1er octobre 1848 à Rouvres, petit village de la Meuse, l’aîné d’une famille de sept enfants. Son père est maréchal-ferrant et mécanicien et c’est près de lui qu’il apprend les travaux manuels. Il fréquente l’école communale de Rouvres puis le lycée d’Etain où il se forme au dessin et reçoit le grand prix de dessin de l’académie de Nancy. Un ami de son père, le peintre animalier Cathelinaux, l’encourage à poursuivre ses études de dessin et lui dit : « Fais du nu, il n’y a que cela de beau dans l’art. » Conseil que La Lyre suivra toute sa vie !
En 1866, peu de temps avant la guerre -celle de 1870- la famille quitte la Lorraine et s’installe à Nancy. Il occupe divers emplois avant de rentrer comme dessinateur industriel aux Bu­reaux des brevets d’invention de la maison Thirion. En 1875, il est reçu premier de sa promotion au concours de l’École Nationale et Spéciale des Beaux-Arts et son employeur l’encourage dans sa voie : l’après-midi, il réalise des dessins industriels pour son patron et le matin il va aux cours de l’École des Beaux-Arts. La même année, il expose deux dessins au Salon des Champs Elysées. Puis, il suit les cours de mathématiques et de dessin à l’École supérieure des Arts Décoratifs où il reçoit une mé­daille d’or.
Il a été élève de Lehman (lui-même élève d’Ingres), de Bonnat (portraits), de Puvis de Chavannes (sujets religieux), de Jules Lefèbvre (peintures my­thologiques ou allégoriques), et de Henner. Il donne aussi des cours de dessin dans les groupes scolaires de la mairie du XIIe arrondissement et à l’Union Française de la Jeunesse de 1877 à 1889. A partir de 1880, son atelier est place des Vosges au pavillon Henri IV ; en 1897, il fera cons­truire l’atelier de Courbevoie. C’est aussi à partir de 1880, qu’il change son nom de Lalire en La Lyre.
Écrivain et critique d’art, il écrit dans diverses revues. Il veut aussi conseiller les jeunes ar­tistes et publie de 1902 à 1907 quatre grands volumes consacrés à la figure d’après nature, renfermant chacun 450 dessins et croquis. Puis il fait paraître en 1911 « Le Nu féminin à travers les âges », illustré de 74 dessins à la sanguine.
Il reçoit deux médailles aux Expositions Universelles de 1889 et 1900. Officier de l’Instruction Publique en 1887, il obtient la Légion d’Honneur en 1928.
Il meurt le 26 janvier 1933 et est inhumé dans le caveau familial de sa belle-famille à Montmar­tre. Après sa mort, Marthe Lalire donna des toiles de son mari à de nombreux musées et mairies, pour diffuser son œuvre.
 
En savoir plus sur Adolphe La Lyre : lisez l'article complet consacré à l'artiste Adolphe La Lyre sur la page du magazine de l'histoire de l'art de vivre en Normandie, Patrimoine Normand
 

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Constantin Kluge, Paris, boulevard Saint Germain

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Constantin Kluge, tableau, vente aux enchères

Tableau de Kluge en vente aux enchères

Constantin KLUGE (1912-2003) 

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Constantin Kluge, cote et estimation

Constantin Kluge, un artiste fasciné par Paris

Constantin Kluge est né à Riga, en Lettonie, le 29 janvier 1912, de parents russes. En 1925 sa famille émigre "à la concession" française de Shanghai, où Kluge termine ses études au Lycée Municipal français. Dès ses dix-sept ans, il devient un membre très actif du Club d'Art de Shanghai. En 1931, Kluge quitte Shanghai pour Paris pour étudier l'architecture. Il passe six ans à L’école des Beaux-Arts et en 1937 obtient un diplôme avec le titre d'Architecte Gouvernemental français. 

Les années passées à étudier et vivre dans le quartier Latin de Paris ont créé un attachement particulier aux scènes caractéristiques de Paris. Il restera à Paris pendant six mois peignant les vues de Paris à l'huile, en préservant les scènes qu'il a tant aimées. Ses années d'enfance passées dans l'Orient ont contribué à son amour pour la peinture. Kluge est ensuite retourné en Chine, où il a pratiqué sa profession d'architecte pour peu de temps. Mais quand ses amis l'ont persuadé d'exposer ses peintures, les expositions étaient si réussies et ont réveillé un tel enthousiasme que Kluge a estimé que la peinture, son premier amour, pouvait le faire vivre. 

En mars 1950, des rumeurs que les Communistes chinois pourraient envahir Hong-Kong, ont amenées Constantin Kluge à définitivement quitté l'Asie pour Paris. En 1951, il obtient une récompense et une attention considérable au Salon de Paris. En 1961 on lui a attribué la Médaille d'Argent ainsi que le prix de Raymond Perreau donné par Taylor Foundation au Salon. En 1962 il reçoit la Médaille d'or du Salon. En 1990, Kluge est nommé Chevalier de la Légion d'Honneur par le Ministère français de Culture. 

Complètement captivé par les nombreux caprices de Paris, Kluge fut absorbé par la peinture de cette belle ville. La gaieté et l'animation des marchés de fleur; les lieux calmes et poétiques le long de la Seine; la qualité spéciale du soleil de Paris les premiers jours de printemps.

Probablement en raison de sa première formation d’architecte, Kluge a été principalement occupé par les sujets incluants des constructions de plusieurs types, mais le paysage pur l’intrigue aussi. 

Les critiques français d'art ont déclaré que Constantin Kluge est un peintre de réalisme poétique. Kluge peint dans un style franc et direct. Ses dessins aux formes biens construites sont baignés dans une atmosphère de couleurs subtiles. Il a aimé peindre et a su communiquer cette joie à l'observateur. 

Ses oeuvres ont été exposées par les Wally Findlay Galleries. 

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André Hambourg, à marée haute, Deauville

André Hambourg, à marée haute, Deauville

André Hambourg, tableau, vente aux enchères, mercredi 11 avril

André HAMBOURG (1909-1999)

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