Phrase célèbre, prononcée en 1907 par Constantin Brancusi en quittant l’atelier d’Auguste Rodin.
Contrairement à l'image d'Epinal renvoyant à l'époque des peintres maudits, le décès d'un artiste a, aujourd'hui, peu d'influence sur la hausse des prix d'adjudication. Il arrive même que ce soit l'inverse : les nouveaux collectionneurs entrant sur le marché de l'art, s'intéressent souvent à des nouveaux courants artistiques, provoquant une érosion douce de la valeur des artistes disparus.
« Un tableau n’est plus une construction de couleurs et de traits, mais un animal, une nuit, un cri, un être humain, il forme un tout indivisible ».
Les œuvres de Maurice de Vlaminck les plus recherchées sont bien évidemment celles de la période fauve : il est communément admis que l'artiste fut l'un des fondateurs du fauvisme avec André Derain et Henri Matisse. Comme Charles Camoin, il fit d'ailleurs partie des artistes ayant exposé au Salon d'Automne de 1905 qui sera à l'origine du nom "fauve". Les prix d'adjudication pour les peintures de cette période sont souvent de plusieurs millions d'euros.
Pierre Ambrogiani, un peintre corse fidèle aux couleurs du Sud.
