Blog Artists
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Gérard Schneider
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Vue du pont de Jambes à Namur
Huile sur toile signée en bas à droite.
100x 150 cm
Voici un joli témoignage, vibrant d'émotions de la fille de l'artiste Charles Virion que nous vous invitons à lire.
Charles Louis Eugène Virion
Gérard Fromanger
Maria Vieira da Silva, quelques résultats de vente
Maria Elena Vieira da Silva (1908 – 1992)
Stanley William Hayter, né le 27 décembre 1901, à Hackney en Londres, et mort le 4 mai 1988 (à 86 ans), à Paris, est un peintre non figuratif britannique de la nouvelle école de Paris, dont l'œuvre, à partir de 1932, a été essentielle dans le renouveau de la gravure moderne.
Albert Carrier-Belleuse
COMPIEGNE : Musées du Palais Impérial - Château de Compiègne
Mikhail Larionov (1881-1964)
Antoni Clave (1913-2005)
Dans le cadre de la saison culturelle "Sur les pas de Van Gogh, hier, aujourd'hui et demain", le château d'Auvers accueille Arnaud Rabier alias NOWART, artiste emblématique du Street-Art et fasciné par Vincent Van Gogh.
Dans l'effervescence maintenue à Saint Germain des Près par le couple Sartre-Beauvoir, Camille Bryen prolongeait l'esprit dada des années 20. Il venait de Nantes (le pays de Jacques Vaché, l'un des précurseurs du surréalisme), il avait musardé dans les zones de l'avant-garde qui recueillait à la fois l'héritage de Duchamp et la force poétique générée par les marginaux. Il s'intéresse à toute les formes d'expression. On le voit "oublier" dans la forêt des objets insolites. On est là dans l'esprit de l'errance inspirée et la quête du mystère. Il s'en prend à la lettre, veut lui arracher une nouvelle signification, il créé des alphabets nouveaux, grâce à l'utilisation de verres cannelés, aborde le collage. Et tel qu'il se voit se refait une tête à donner le tournis, celui qui le prenait quand, dans la rue, il riait de tout et voyait ce que personne d'autre voyait dans les choses. Ses dessous, la malice qui y était tapie ; c'était un merveilleux compagnon de route.
La frileuse
Jean-Baptiste Carpeaux, fils d'un maçon et d'une dentellière de Valenciennes, se construit un destin d'exception étroitement lié à la "fête impériale" du règne de Napoléon III.
Celui qui tranchait vivement dans le milieu artistique de son temps constitue également l'une des plus parfaites incarnations de l'idée romantique de l'artiste maudit : par la brièveté et la fulgurance de sa carrière, concentrée sur une quinzaine d'années, par la violence et la passion d'un labeur sans relâche sur les sujets qu'il choisit ou qui lui sont commandés (le pavillon de Flore du Louvre, La Danse pour l'opéra de Charles Garnier).
Fils d'un entrepreneur de peinture alsacien installé à Paris, Ruhlmann est mêlé très jeune au milieu des architectes et des décorateurs. Il se forme aux techniques de l'ébénisterie et s'impose dès le Salon d'automne de 1913 par la forme élégante des pieds fuseaux et la préciosité des placages de ses meubles. La renommée viendra surtout après la guerre lorsque, associé à Laurent, il développe sa propre maison, les établissements Ruhlmann, entreprise de décoration qui édite les meubles, les bronzes, les tissus, etc. dessinés par lui. Ruhlmann incarne au plus haut degré un aspect typiquement français du mouvement « 1925 ». Face aux oppositions heurtées de formes et de couleurs chères aux artistes issus du mouvement munichois, Ruhlmann prône un retour aux traditions de l'ébénisterie française, en particulier la technique et le raffinement des placages (il employait soit des bois précieux, ébène de macassar rehaussée de filets d'ivoire, amboine, soit des matières rares, galuchat, maroquin).
Paire de grandes bergères en macassar, garnitures de velours d'origine.
Couple alangui sur une peau de fauve près d’une harpe
C’est à Paris que Costa Coulentianos a entrepris son parcours de sculpteur. L’artiste arrive à Paris en décembre 1945 avec une bourse du gouvernement français et participe au Salon d’Automne de 1946. Un bref passage à l’Ecole des Beaux-Arts et dans l’atelier d’Ossip Zadkine à la Grande Chaumière devait le conduire à « rejeter la conception académique de la sculpture » telle qu’elle lui avait été inculquée à l’Ecole des Beaux-Arts d’Athènes.
Rose, taches blanches d'hiver
José Victoriano Carmelo Carlos González-Pérez, connu sous le nom de Juan Gris, né le 23 mars 1887 à Madrid et mort le 11 mai 1927 à Boulogne-Billancourt, est un peintre espagnol proche du cubisme qui vécut et travailla en France à partir de 1906.
Artiste majeur de son époque, le sculpteur José-Maria David né en 1944 est un autodidacte qui par son talent sait donner vie à de magnifiques animaux en bronze en traduisant par le mouvement et une attitude nerveuse et tendue, la toute puissance de l'animal.
Ensemble de deux fauteuils, quatre chaises et cinq tabourets en bois et paille
Sur la plage
Jean Puy, né le 7 novembre 1876 à Roanne, où il est mort le 6 mars 1960, est un peintre français proche du fauvisme.
Promenade sur le pont
Nature morte aux fruits
Lassé de regarder les joueurs courir après le ballon?
Edouard Cortès est le fils d’Antoine Cortès, peintre de Cour espagnol réputé, et le petit-fils d’André Cortès, artisan.
Marie Laurencin (1885 – 1956)
Jean-Gabriel DOMERGUE (1889-1962)
Jeune fille aux bas rouges
Huile sur toile, signée en bas à droite
Marie Mela MUTER (1876-1967)
Nous continuons notre hommage au Brésil, en explorant le milieu artistique brésilen.
Depuis 1998, l’artiste aime ainsi à couvrir les façades des bâtiments de la ville de ses dessins pleins de bizarreries, où se côtoient monstres, icônes de la culture populaire ou encore références aux art ancestraux. Graphique, iconoclaste et joyeusement chaotique, l’art de rue de Cranio donne ainsi à voir aux spectateurs de curieux personnages de couleur bleue mis en scène dans diverses situations où pêle-mêle se trouvent ainsi traités les problèmes liés aux partages des richesses, les conflits engendrés par le système capitalisme ou encore les enjeux de demain pour toute une société. Un intéressant travail artistique, à la parole libre, et qui à l’instar de celui de l’anglais Banksy interroge sur nos sociétés contemporaines en devenir. Découvrez le street art de Cranio en cliquant ci-dessous: http://www.gentside.com/street-art/l-039-art-de-rue-inventif-du-street-artiste-cranio_art35612.html
En savoir plus: http://www.gentside.com/street-art/le-street-art-tribal-de-cranio_art35610.html
L'image commence à faire le tour de la Toile. Elle est signée Paulo Ito et représente un enfant affamé devant une assiette contenant... un ballon de foot. L'œuvre du street artiste brésilien est devenue un symbole brandi par les anti-Coupe du monde. Mais Paulo Ito n'est pas le seul à dénoncer les dépenses pharaoniques du Mondial 2014 qui s'ouvre demain, estimées à 11 milliards d'euros, dans un pays où il manquerait un million de logements pour les Brésiliens.
Ne manquez pas de visiter ou revisiter les salles des objets d'art au Louvre, nouvellement rénovées et accessibles au publique depuis le 6 juin dernier, aile Sully au premier étage.
L’histoire commence en 1924. Jean Lurçat, peintre renommé, connu pour avoir renouvelé l’art de la tapisserie en France, et son frère André, jeune architecte, ont le projet de créer une cité d’artistes. La ruelle prendra le nom de Villa Seurat, en hommage au peintre pointilliste, et accueillera résidences et lieux de travail de nombreux créateurs. En 1926, la sculpteur Chana Orloff y fait construire sa maison-atelier par l’architecte Auguste Perret.
Cette exposition-dossier du musée des Beaux-Arts est en partenariat avec la DRAC Aquitaine et le Centre Pompidou présentée dans l'aile nord du musée du 15 mai au 24 août 2014 (entrée libre)
20 juin 2014 - 22 septembre 2014
Théo Tobiasse (1927-2012)