Les œuvres de Raoul Dufy connaissent toujours un grand succès. Inutile de faire l'apologie de cet artiste, qui n'est plus à faire, tant sa renommée et son travail ne se discutent plus. Néanmoins, le marché n'accepte plus les dessins esquissés ou non aboutis : ce type d'œuvres reste invendu.
Encouragé par sa famille, Cornelis Théodorus Marie Van Dongen étudie à l’Académie Royale de Peinture de Rotterdam. Il commence son art à travers les paysages hollandais, dans une technique qui le rendra connu : les dessins à l’encre de Chine rehaussés d’aquarelle.
L'intitulé de l’exposition est merveilleusement bien trouvé, car oui, c’est un pari de mettre cette exposition en place. En dehors de la nouveauté artistique qui est de mettre en avant un marchand, l’autre pari est celui de Paul Durand-Ruel face à son amour pour l’impressionnisme. En effet, le Musée du Luxembourg ne met pas en tête d’affiche un artiste, comme le veut la plupart des expositions de nos jours. Même si cela commence à apparaître, ce type d’exposition reste encore discrète.
La carrière artistique de McClelland Barclay s’est propulsée très rapidement. A l’âge de 21 ans déjà, son travail est publié dans The Saturday Evening Post ou encore Cosmopolitan. Avant cela, le jeune artiste a quand même étudié à l’Institut d’Art de Chicago puis à la Ligue des Etudiants en Art à New-York.
Avec un diplôme à l’Institut des Arts Appliqués, Hermann Nitsch sait qu’il veut devenir un artiste, mais lequel ?