2 bouteilles de Petrus 1951, vente aux enchères
Flacon ou bouteille de Petrus en vente aux enchères
2 bouteilles Petrus 1951
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2 bouteilles Petrus 1951
3 bouteilles Château Mouton Rothschild 1951
DUPONT ''Olympio''
Stylo bille, corps et capuchon rehaussés de laque de Chine façon écaille, agrafe et anneaux plaqués or. Signé, numéroté 5A2AC96. Il est accompagné de son écrin et d’une mine supplémentaire.
BREITLING
Montre bracelet d'homme en métal doré, cadran ivoire avec chiffres arabes et index épis gravés, trotteuse centrale. Fond de boîte en acier. Mouvement mécanique signé, sur base ETA calibre 1100. Bracelet cuir usagé avec boucle ardillon en métal
GOUDJI
Collier torque ouvrant à charnière en vermeil 800 millièmes martelé, centré d'un motif géométrique perlé dissimulant son fermoir à glissière. Vers 1975/80. Signé.
Poids brut: 80.80 g.
Dimensions intérieures: 11.3 x 12 cm.
L’histoire de Goudji c’est l’Histoire de l’Europe dans la 2ème moitié du XXème siècle, né en Géorgie, province de l’URSS en 1941, il apprend le travail des métaux et du bois, avant de rentrer aux Beaux-Arts de Tbilissi et de travailler à Moscou comme Designer. Marié à une Française, Katherine Barsacq en 1974 il quitte l’URSS et « nait en France à l’âge de 33 ans » où il peut enfin se consacrer au travail des métaux précieux alors interdit en URSS. Ses premières créations en métaux précieux sont réalisées avec des couverts en argent hérités de sa mère ; cet héritage physique est une métaphore de son héritage oriental d’où sont notamment issu son savoir faire ainsi que son bestiaire.
MAX LE VERRIER -(1891-1973)
L'auteur des Demoiselles d'Avignon entretenait avec les femmes des relations aussi inspirantes que passionnées, toujours intenses. Bien qu'il fût un grand séducteur, il était également un véritable mufle. Il aurait un jour affirmé à l'une de ses maîtresses, Françoise Gilot, que pour lui il n’y a que deux catégories de femmes : "les déesses et les paillassons". Six femmes eurent néanmoins une influence essentielle sur son œuvre peint.
Paul-Édouard Delabrierre, né à Paris, le 29 mars 1829 et décédé dans la même ville en 1912 est un sculpteur animalier français.
Ferdinand BARBEDIENNE(1810-1892) et Louis Constant SEVIN (1821-1888)
Voilier en mer
Bernard BUFFET (1928-1999)
Maurice GUIRAUD RIVIERE (1881-1947)
Né à Istanbul d'une mère turque et d'un père djerbien, Turki suit ses études primaires à l'annexe du Collège Sadiki, puis au lycée Carnot de Tunis. Il fréquente parallèlement l'école coranique où il se pique d'intérêt, pour la première fois, pour l'agencement de formes et de couleurs des tablettes d'écriture. Il poursuit ses études secondaires au lycée Alaoui où il a notamment Georges Le Mare comme professeur de dessin ; celui-ci découvre les talents du jeune novice et s'emploie à lui apprendre les rudiments de la discipline. Face aux pressions familiales, Turki abandonne ses études et intègre la fonction publique. Il reçoit également une formation académique au Centre d'enseignement d'art, qui prend en 1930 le nom d'École des beaux-arts de Tunis.
Jusqu'au 6 janvier 2019, le Centre de création contemporaine Olivier Debré, à Tours, met en lumière les six toiles monumentales réalisées par le peintre au début des années 1990. Une exposition baptisée "Les Nymphéas d'Olivier Debré".
Hasegawa Kiyoshi est un peintre de paysages animés, de natures mortes, de fleurs, peintre à la gouache, aquarelliste, graveur, illustrateur. Après être sorti diplômé de l'université Meiji de Tokyo, il étudie la peinture à l'huile avec Okada Saburōsuke (1869-1939) et Fujishima Takeji. En 1912, il commence à pratiquer la gravure sur bois et, en 1913, la gravure sur cuivre.
L’exposition met en lumière une quarantaine de toiles illustrant la jeunesse entre sept et douze ans, réalisées sur la période de 1830 à 1914.
Au fil des décennies, les peintres, tous mouvements artistiques confondus, tendent à la recherche du naturel pour observer les vies d’enfants. Les gestes sont précis, les regards sont justes. Il semble qu'aucune époque n’ait consacré autant d’œuvres à l’enfant, ni une iconographie aussi variée au regard des siècles précédents.
Produit dans le cadre d’une série limitée de seulement 50 bouteilles, ce rare whisky serait également la plus vieille expression de Yamazaki disponible. Ce single malt a été vieilli dans des fûts dits « mizunara » (en chêne japonais) cinq décennies durant, avant d’être mis en bouteilles et lancé sur le marché en 2005.
Olivier DEBRE (1920-1999)
Pierre ALECHINSKY (né en 1927), Karel APPEL (1921-2006), Paul REBEYROLLE (1926-2005)
Alexis DELAHOGUE (1867-1950)
FRANÇOIS ARNAL (1924-2012)
François ARNAL (1924-2012)
Henry de Waroquier est issu d’une famille aristocratique, qui compte dans ses rangs de nombreux peintres, inventeurs et artistes. Doté d’un esprit inventif, curieux de toutes les aventures et de toutes les techniques, Waroquier a toujours été soucieux d’éviter les sentiers battus et d’expérimenter toutes les directions qui pouvaient s’offrir à lui.
Francisco SALAZAR (1937)
Henri MICHAUX (1899-1984)
"J'écris pour me parcourir. Peindre, composer, écrire: me parcourir. Là est l'aventure d'être en vie" affirme Henri Michaux dans Passages (1950). Toute l'oeuvre de ce poète, né à Namur, consiste en effet en une périlleuse traversée de ce qu'il appelle "l'espace du dedans". Et c'est l'un de ses traits les plus remarquables que de nous parler de l'être, et donc de nous-mêmes, comme d'un territoire à explorer, d'un paysage dont l'apparente stabilité dissimule de minuscules ou spectaculaires événements.
Né à Harlem en 1963, un quartier du Nord de Manhattan à New-York, JonOne est un artiste américain d’origine dominicaine. Derrière ce pseudonyme, qui a été aussi fût un temps Jon156 (pour le nom de sa rue), il se prénomme en fait John Andrew Perello.
Arthur BRIDGMAN (1847-1928)
Béla Vörös est un sculpteur hongrois de naissance et français d’adoption, né en 1899 à Esztergom et mort à Sèvres en 1983. Influencé par le cubisme, l'art décoet l'art primitif africain, Béla Vörös, tout en créant un langage nouveau, est resté fidèle aux formes figuratives.
BELA VOROS (1889-1979)
François POMPON (1855-1933) - PANTHÈRE NOIRE, OREILLES COUCHÉES - 1925 Très belle épreuve en bronze à patine noir satiné - Hauteur : 22 cm Longueur : 58,5 cm Profondeur : 8 cm
JOSEPH CSAKY 1888-1971
Brillador et Fanfaron
Louis DUMOULIN (1860-1924)
Avec Hansi au moins, on le tient, notre artiste connu, reconnu, pas maudit, pas exilé à Paris et dont la quasi-totalité de l’œuvre a pris l’Alsace comme sujet ! C’est en tout cas ce qu’on est tenté de se dire, tant le bonhomme est emblématique de la région, au point d’en être devenu une marque déposée (lire ci-dessous)…
Une œuvre exceptionnelle de Paul-Émile Pissarro, intitulée "La Seurerie Saint Remy sur Orne", a récemment été vendue lors d'une vente aux enchères publiques :
Une œuvre remarquable de Paul-Émile Pissarro a récemment été vendue lors d'une vente aux enchères publiques :
Jean Cocteau (1889 – 1963) est l'un des artistes les plus emblématiques du XXe siècle. Son dessin intitulé "Profil", réalisé à l'encre, a été signé et daté du 28 janvier 1963. Ce dessin est également dédicacé "Salut Fidèle à Gaudeamus" à gauche. Les dimensions de l'œuvre sont de 21 x 26,5 cm.
Qui était La Lyre, ce peintre prolifique et mal connu aujourd’hui ?
Constantin KLUGE (1912-2003)
Constantin Kluge est né à Riga, en Lettonie, le 29 janvier 1912, de parents russes. En 1925 sa famille émigre "à la concession" française de Shanghai, où Kluge termine ses études au Lycée Municipal français. Dès ses dix-sept ans, il devient un membre très actif du Club d'Art de Shanghai. En 1931, Kluge quitte Shanghai pour Paris pour étudier l'architecture. Il passe six ans à L’école des Beaux-Arts et en 1937 obtient un diplôme avec le titre d'Architecte Gouvernemental français.
Les années passées à étudier et vivre dans le quartier Latin de Paris ont créé un attachement particulier aux scènes caractéristiques de Paris. Il restera à Paris pendant six mois peignant les vues de Paris à l'huile, en préservant les scènes qu'il a tant aimées. Ses années d'enfance passées dans l'Orient ont contribué à son amour pour la peinture. Kluge est ensuite retourné en Chine, où il a pratiqué sa profession d'architecte pour peu de temps. Mais quand ses amis l'ont persuadé d'exposer ses peintures, les expositions étaient si réussies et ont réveillé un tel enthousiasme que Kluge a estimé que la peinture, son premier amour, pouvait le faire vivre.
En mars 1950, des rumeurs que les Communistes chinois pourraient envahir Hong-Kong, ont amenées Constantin Kluge à définitivement quitté l'Asie pour Paris. En 1951, il obtient une récompense et une attention considérable au Salon de Paris. En 1961 on lui a attribué la Médaille d'Argent ainsi que le prix de Raymond Perreau donné par Taylor Foundation au Salon. En 1962 il reçoit la Médaille d'or du Salon. En 1990, Kluge est nommé Chevalier de la Légion d'Honneur par le Ministère français de Culture.
Complètement captivé par les nombreux caprices de Paris, Kluge fut absorbé par la peinture de cette belle ville. La gaieté et l'animation des marchés de fleur; les lieux calmes et poétiques le long de la Seine; la qualité spéciale du soleil de Paris les premiers jours de printemps.
Probablement en raison de sa première formation d’architecte, Kluge a été principalement occupé par les sujets incluants des constructions de plusieurs types, mais le paysage pur l’intrigue aussi.
Les critiques français d'art ont déclaré que Constantin Kluge est un peintre de réalisme poétique. Kluge peint dans un style franc et direct. Ses dessins aux formes biens construites sont baignés dans une atmosphère de couleurs subtiles. Il a aimé peindre et a su communiquer cette joie à l'observateur.
Ses oeuvres ont été exposées par les Wally Findlay Galleries.
Cette exposition offre une magnifique occasion de redécouvrir l'oeuvre de ce peintre d'origine russe : Léopold Survage (Moscou, 1879 - Paris, 1968), ami d'Apollinaire, dont l'évidente modernité fait de lui un artiste majeur du début du XXe siècle.
Du cubisme à l'abstraction qu'il traversa avec un égal bonheur, de sa première exposition personnelle préfacée de calligrammes d'Apollinaire à ses séries de Rythmes colorés, Survage apparaît comme un véritable passeur de modernité.
« Il nous en bouche un coin » (Juan Gris)
A la fin de 1913, Survage présente son idée qui allie peinture et cinéma: le Rythme coloré à G. Apollinaire. Ce projet lie abstraction - que vient d'inventer, trois ans auparavant, Kandinsky - et cinéma - la première projection est réalisée par les Frères Lumière en 1895 en noir et blanc ; les rares films en couleurs sont, à cette époque, peints à la main. Le projet est si novateur que Léon Gaumont, sollicité, n'ose pas l'entreprendre.
Révolutionnaire, Survage l'est aussi dans sa peinture, cherchant immédiatement comment développer autrement les découvertes du cubisme que viennent d'inventer Braque et Picasso. Il cherche comment dépasser les Natures mortes et leurs accumulations de verres, de bouteilles et d'instruments de musique. Ce qui lui importe c'est de trouver ce qu'il appellera la Synthèse plastique de l'espace, c'est-à-dire d'introduire dans le cubisme la dimension du paysage. En 1917, lorsqu'aura lieu - préfacée par des calligrammes d'Apollinaire - sa première exposition personnelle, on découvre une véritable explosion de couleurs - roses légers, bleus lumineux, verts transparents... - ignorées des cubistes et avec lesquelles il crée des sortes de « blasons » des villes de la Méditerranée où il vient de passer une grande part des années de guerre. Au sortir de l'exposition, Juan Gris résumait ainsi le point de vue des cubistes : « Il nous en bouche un coin ».
C'est qu'avec ces peintures où l'intérieur des maisons et leurs bouquets de fleurs dans les vases se confond avec les perspectives de rues hantées d'ombres de personnages, plantées d'arbres confondant feuilles et fruits, Survage invente une conception de la peinture qui, avec les tableaux de De Chirico, annoncent l'univers des surréalistes. la découverte de Collioure et de la Catalogne dans les années 20 ne sera pas seulement celle d'une nouvelle gamme colorée où les ocres et les noirs puissants succéderont aux couleurs légères de la Côte d'Azur, mais bien plutôt celles des forces brutales - du vent aussi bien que des taureaux - et des voiles noirs des pêcheuses qui ne tarderont pas à devenir les pleureuses du Calvaire...
Cette capacité de Survage à ne jamais rien renier de sa vision, mais en même temps à pouvoir l'adapter aux approches les plus différentes - de la commande par Diaghilew du décor de l'opéra de Stravinsky pour les Ballets russes aux peintures monumentales du Pavillon des Chemins de Fer pour l'Exposition Universelle de 1937 - fera que jusqu'à sa mort en 1968, à l'âge de 89 ans, Survage a pu développer l'univers d'images qu'il avait découvert un demi-siècle plus tôt.
D'après Daniel Abadie
Commissaire de l'exposition
Exposition co-organisée par les musées de Béziers, d'Alès, du MiLL (La Louvière-Belgique) et de Nevers
Léopold Survage abstrait ou cubiste ?
du 9 février au 29 avril 2018
L'EXPOSITION
Catalogue de l'exposition réalisé sous la direction de Daniel Abadie, commissaire de l'exposition. Somogy
éditions d'art, 21 x 29,5 cm, 167 pages ; 30 euros
VISITES COMMENTEES
. Samedi 17 février et mercredi 7 mars 2018 à 15 h par Michel Philippart, amateur d'art
. Samedi 7 avril et dimanche 22 avril 2018 à 15 h par Didier Maranski, directeur du musée
(tarif 5 euros)
JEUNE PUBLIC PENDANT LES VACANCES (6-12 ans)
(tarif 5 euros)
. Jeudi 15 février à 14 h par Marie-Christine Vallet, médiatrice au musée
« Cube, couleur, collage, viens explorer l'oeuvre de Léopold Survage... »
. Jeudi 12 avril à 14 h par Yann Périchaut, assistant scientifique au musée
« Cube, couleur, collage, viens explorer l'oeuvre de Léopold Survage... »
(tarif 5 euros)
Visites commentées de l'exposition pour les scolaires
réservation : [email protected]
INFOS PRATIQUES
Musée de la faïence et des beaux-arts
16 rue Saint-Genest 58000 NEVERS
Tél : 03 86 68 44 60 (accueil)
courriel : [email protected]
site : https://musee-faience.nevers.fr
Ouvert du mardi au dimanche (fermé le lundi)
Semaine : 13 h - 17 h 30
Week-end : 14 h - 18 h
Georges LAVROFF (1895-1991)
Né à Paris, André Hambourg se consacre directement à l’art, en intégrant l’Ecole des Arts Décoratifs pour étudier la sculpture, et l’Ecole des Beaux-Arts pour la peinture. Sa première exposition en Galerie est en 1928 et il reçoit son premier prix, celui de la Villa Abd-El-Tif d’Alger (elle est l’équivalent de la Villa Médicis).
Si vous possédez une œuvre de Max Papart nous estimons gratuitement tableau dessin et gravure et vous conseillons pour toute démarche de vente.
Luis Feito voit le jour à Madrid en 1929. Enseignant à l’école des Beaux-arts de San Fernando en 1954, il part s’installer à Paris deux ans plus tard pour y étudier les mouvements d’avant-garde. Dans la capitale française, il recevra les influences de l’automatisme et du matiérisme. Ses premiers travaux s’inscrivent dans le mouvement figuratif. Il explore ensuite une période cubiste, avant d’arriver à l’abstraction. Autour de 1962, il introduit le rouge dans des structures et motifs circulaires qui donneront lieu, peu à peu, dans les années 70, à la géométrisation et à la plénitude de la couleur. Après un passage par Montréal, il s’installe à New York en 1983. Son œuvre fait partie des plus grandes collections privées et des musées les plus reconnus au monde.
Gérard SCHNEIDER (1896-1986)
Arturo BONFANTI (1905-1978)
Louis Eugène GIRARDOT (1856-1933)
Igor MITORAJ (1944-2014) – Helios
Bronze à patine verte, signé et numéroté A 222 / 1000.
Dimensions : 30 x 40 cm hors socle.
Cette magnifique sculpture représente Helios, le dieu grec du soleil, dans une patine verte, typique du travail de Mitoraj, alliant force mythologique et une esthétique intemporelle.
François POMPON (1874-1931) - Girafe