Kiyoshi Hasegawa, muguets dans un verre, gravure en vente aux enchères le jeudi 22 septembre
Tableau de Kioshi Hasegawa présenté en vente aux enchères
Kiyoshi HASEGAWA (1891-1980)
Blog Artists
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Kiyoshi Hasegawa
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Kiyoshi HASEGAWA (1891-1980)
Guy BARDONE (1927-2015)
Edouard PIGNON (1905-1993)
Mikhail CHEMIAKIN (1943)
Jeune femme au chapeau
Emmanuel FREMIET (1824-1910)
Adrien-Aurélien HÉBRARD (composition avec Dalou) (1902-1934)
A la demande d’un ou des membres de la famille ou sur signalement des services sociaux ou d’un établissement de soin, le juge des tutelles choisit le régime de protection le mieux adapté à la personne à protéger en tenant compte du degré d’altération des facultés mentales et du degré d’altération des facultés corporelles qui empêchent l’expression de la volonté.
Il prend sa décision après expertise psychiatrique et audition de la personne à protéger.
Protection d’un majeur
Piero DORAZIO (1927-2005)
Arthur Luiz PIZA (1928-2017)
Boîte en tôle peinte
Daniel AUTHOUART (1943)
Tableau d'Epsylon Point en vente aux enchères
BANKSY (D'après)
BAMBI (1982)
Robert COMBAS (1957)
Victor VASARELY (1906-1997)
Salvador DALI (1904-1989)
Jean FAUTRIER (1898-1964) - Sommeil (1937)
Jean Gaston MANTEL (1914-1995)
Jean Gabriel DOMERGUE (1889-1962)
Jean Gabriel DOMERGUE (1889-1962)
Marc ALDINE (1912-1972)
Marcel DYF (1899-1985)
Paul GUIRAMAND (1926-2007)
Francis de Lassus SAINT-GENIES (1925-2018)
Francis de Lassus SAINT-GENIES (1925-2018)
En vente aux enchères, c'est à Paris où sont adjugées le plus grand nombre d'œuvres de Miss.Tic.
Malgré toutes les modes et courants artistiques du XXème siècle, Bernard Buffet est l'un des peintres français du XXème siècle les plus recherchés.
Pour comprendre la pertinence de cette question, il faut savoir que Georges Guyot est l'un des grands sculpteurs animaliers de la période Art Déco.
L'artiste nous transporte à Deauville, sur le lac Léman ou au bois de Boulogne. Les personnages qui animent la composition - essentiellement féminins - semblent nous attendre pour partager avec eux leur douceur de vivre.
Avec Matisse, Rouault et Marquet, Charles Camoin est l'un des élèves illustres de l'atelier de Gustave Moreau.Très lié avec Marquet, dont il a laissé un beau portrait (1904-1905, musée national d'Art moderne, Paris) ; il est impressionné par Cézanne, qu'il rencontre en 1902 et dont l'influence est sensible dans le Portrait de sa mère(1904), et surtout par Matisse avec qui il renoue après 1904 : « Mon instinct de coloriste me rapprochait de lui, mais ce qui restait chez moi du domaine de l'instinct devait très vite se développer chez lui en théorie. Théorie d'exaltation qui devint ce que l'on a appelé le fauvisme, et que, personnellement, je n'ai jamais suivie systématiquement », écrivait-il en 1955. Malgré ces réserves, il n'en reste pas moins que l'essentiel de son œuvre se place alors sous le signe de la peinture fauve, par la facture très libre et l'irréalisme du coloris sinon par sa violence : cinq toiles de lui figurent d'ailleurs à la fameuse exposition du Salon d'automne de 1905, qui voit le baptême du mouvement. Très réservé à l'égard du cubisme (« Que de faux grand style et de parti pris dans tout cela ! », écrivait-il en 1918), Camoin ne participera plus ensuite à aucun mouvement d'avant-garde : il est significatif qu'en 1918 il rende visite à Renoir vers qui il reporte désormais son admiration. Sa peinture, qu'il adoucit peu à peu (La Coupe bleue, 1930, musée national d'Art moderne), se vend bien et lui permet une fin de vie paisible, partagée entre Paris et Saint-Tropez et ponctuée par quelques grandes expositions.
Henri Lebasque naît en 1865 à Champigné. En 1885, il étudie à l’Ecole des beaux-arts de Paris. Une fois ses études terminées, il intègre l’atelier de l’artiste Bonnat et participe dorénavant régulièrement aux expositions de l’association d’artistes et des Salons parisiens. Il cultive en outre l’échange avec de jeunes artistes, notamment Vuillard et Bonnard, fondateurs du mouvement des « Nabis » et de celui des Intimistes.
En 1903, il fonde avec Matisse et d’autres artistes le Salon d’automne qui se déroulera au Petit Palais à Paris. Dès 1912, un groupe d’artistes expose au Salon qui sera plus tard connu sous le nom des « Fauves » – un nom qui fait allusion à leur style artistique. Tout comme les Fauves, Lebasque change sa façon de travailler, en créant des aplats de formes et de couleurs, qui donnent une toute autre subtilité à ses œuvres.
Henri Lebasque se rend en 1924 au Cannet où son ami artiste Bonnard et lui partageront le même modèle pour leurs études picturales. Critiques d’art et artistes qualifient Henri Lebasque de « peintre de la joie et de la lumière ». Les sujets plaisants qu’il affectionne et la joie évidente qui transpire dans sa manière de traiter formes et couleurs lui valent estime et admiration. En 1937, le peintre décède au Cannet, dans les Alpes Maritimes. Une première rétrospective de son œuvre ne lui sera consacrée que vingt ans après sa mort, au musée des Ponchettes à Nice.
Jean-Baptiste-Armand Guillaumin, paysagiste français et aquafortiste, naît le 16 février 1841 à Paris. Il passe sa jeunesse à Moulins-sur-Allier. A l’âge de 17 ans, il s’installe chez son oncle à Paris et commence sa formation d’employé de commerce. Pendant son temps libre et ses soirées, Jean-Baptiste-Armand Guillaumin prend des cours de dessin chez le sculpteur Louis Denis Caillouette (1791 – 1868). A partir de 1860, il a un poste fixe à la direction de la société française de chemins de fer. Il fréquente l’Académie Suisse à partir de l’année suivante. Il entretient des contacts avec Paul Cézanne (1839 – 1906) et Camille Pissaro (1830 – 1903).
Hervé Di Rosa (né à Sète en 1959) est un peintre français contemporain, qui fut avec son frère Richard Di Rosa, François Boisrond, Rémi Blanchard et Robert Combas l’un des principaux artisans du mouvement français de la « Figuration libre », renouveau de la peinture dans les années 1980, une peinture décomplexée empruntant souvent à la BD, au rock et au graffiti.
Il s’installe à Paris en 1978 avec son ami peintre Robert Combas et il entre à l’École nationale supérieure des arts décoratifs.
En 1985, Hervé Di Rosa participe à la Biennale de Paris.
A vingt ans, il est élève de l’Atelier Gustave Moreau à l’Ecole des Beaux-arts de Paris. Il y a là Matisse, Rouault et Marquet. Comme beaucoup, il expose une première fois au Salon des Indépendants, en 1902. Il devient sociétaire du Salon d’Automne auquel il restera fidèle tout au long de sa vie de peintre.En 1905, sa toile « La Sieste » fait partie de la salle du Salon d’Automne qui fût qualifiée, par dérision, de « cage aux fauves ».Manguin découvre le sud de la France, la Provence et Saint-Tropez (il séjourne chez Paul Signac). L’homme, plein de joie de vivre, est séduit par la lumière, s’enthousiasme pour les paysages, et y achète une maison en 1920. Il travaillera à Paris, en 1908, à l’Académie Ranson où il retrouvera notamment Albert Marquet. Il est en quête de paysages, qu’il traite essentiellement à l’aquarelle, et voyage sans cesse en France (Provence, Bretagne, Pays de Loire, etc.) et plus rarement à l’étranger (Suisse, Italie).
Il est un joaillier au talent unique.
C'est bien ainsi que se définit l'exposition qui se tient à la Cité du Vin à Bordeaux
Picasso visite, en 1946, avec Françoise Gilot Poteries- Fleurs – Parfums, l’exposition annuelle de Vallauris et effectue ses premiers essais chez Suzanne et Georges Ramié (atelier Madoura). De retour, l’année suivante, avec plusieurs dessins et projets, Picasso commence ses premières créations. Séduit par la « ville aux cent potiers », Picasso s’y installe de 1948 à 1955, dans une villa sur les collines : son activité créatrice se répartit, alors, entre son atelier du Fournas où il crée de nombreuses sculptures et l’atelier Madoura pour les céramiques.
Les sculptures de Igor Mitoraj ont indéniablement la cote ! Si vous recherchez à acquérir un bronze de Igor Mitoraj, les premiers prix débutent autour de 1.000 euros pour "Cuirasse II", bronze mesurant 15 cm. Mais l'estimation moyenne tourne autour de 6000 à 9000 euros pour un torse "Aesclépios" en bronze.
C’est en 1904 que Henri Manguin découvre Saint-Tropez pour ne plus s’en détacher. Il est frappé par la lumière et la beauté de la végétation. Il loue la ville Demière durant l’été 1905 et de là naitront de nombreuses toiles majeures dans l’œuvre du peintre : l’atmosphère exalte le peintre qui traduit son bonheur par une peinture haute en couleurs, affirmée, intense, expressive.
Willy Eisenschitz est né en 1889, fils d’un avocat juif. En 1911, il étudie l’art à l’Académie d’Art de Vienne. Il est bientôt fasciné par les mouvements modernistes français de cette époque. Comme il a un oncle qui vit à Paris, il a la chance d’aller à Paris et poursuit ses études d’art à la « Académie de la Grande Chaumière ». À l’Académie de Paris, il tombe amoureux de Claire Bertrand, et ils se marient peu de temps avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale Au commencement de la guerre, Eisenschitz décide de revenir en Autriche, mais il est arrêté et interné dans un camp. Son épouse Claire Bertrand le suit et en 1915 et 1916 et leurs deux enfants, Evelyn, et David, sont nés dans le camp. Après la fin de la guerre, la famille décide de s’installer en Suisse, Eisenschitz souffrant de tuberculose sévère. Ils se déplacent à Luzern et en raison du changement de climat, espérant une guérison de la tuberculose de l’artiste. Quelques tableaux existent encore de cette époque, de style très différent. En 1920, la famille déménage à Paris.
Jean Després est Chevalier de la Légion d’Honneur depuis 1938. Bibliographie : Waldemar George, Jean Fougère.- Jean Després. Ed. Riegel, 1952. Jean Després orfèvre, artisan passionné pour son métier aime à travailler de ses mains et ne répète jamais aucune Pièce. Les obligations professionnelles – clientèle et expositions à Paris – ne l’ont jamais détaché de son Morvan où il puise, si ce n’est son inspiration, du moins un goût terrien et bourguignon – pour la vigueur rustique, l’ampleur généreuse de formes qui caractérisent son orfèvrerie de table où figurent en première Place Pichets et taste-vin.
C’est juste après la guerre, en 1945 que François-Xavier Lalanne s’inscrit à l’Académie Julian pour y étudier la peinture. Sa rencontre sur place avec les sculpteurs Constantin Brancusi et François Pompon le détourne de sa première passion et l’oriente vers la sculpture animalière. Se sentant artistiquement plus proche de l’art du XIXe siècle que contemporain, il se rattache lui-même à ce courant. Il rencontre sa future femme Claude en 1956 et décide de travailler avec elle. Leur duo complémentaire ne cessera pas, Claude travaillant sur les végétaux tandis que lui se concentre sur ses moutons, oies, et autres créatures de bronze. Cinquante années de carrière d’une remarquable constance, avec des expositions dans le monde entier et de nombreuses commandes publiques (Manufacture de Sèvres, le Jardin des Halles, la fontaine de la Défense). Les milliers d’oeuvres produites ont séduit bien des collectionneurs, surtout issus du milieu de la mode et l’on peut trouver l’un de ses moutons au centre Pompidou. Alors que la maison d’édition Flammarion célèbre la parution d’une monographie sur le couple en 2008, que François-Xavier Lalanne décède, à l’âge de 81 ans.
D’une manière générale, les mythes sont tenaces dans le domaine du vin. Voici un bel exemple ! Dom Pérignon était un moine, à la fin du XVIIème siècle et au début du XVIIIème, occupant la charge de chef cellérier - chef de l'office - à l’Abbaye de Hautvillers, près de la ville d’Epernay. Comme souvent, une des activités essentielles de cette abbaye était l’exploitation d’un vignoble et la production de vin. Dom Pérignon a acquis, de son vivant, une haute réputation pour la qualité de ses vins. Mais ces vins étaient tranquilles, comme l’ensemble de la production champenoise de l’époque. Ni lui, ni ses successeurs immédiats, n’ont jamais fait allusion à une quelconque effervescence dans les vins. Dom Pérignon est mort en 1715, et l’autorisation royale de mettre en bouteille du vin en Champagne ne fut accordée qu’en 1728.
POMPON (1955-1933)
MIES Van der ROHE Ludwig (1886-1969) KNOLL Studio (éditeur). Paire de chauffeuses Barcelona et repose pieds - Structure en acier plat chromé et assise en cuir capitonné blanc Dimensions fauteuils : 77 x 74 x 77 cm - Dimensions repose pieds : 37 x 38 x 55 cm - Bon état - Quelques usures
Pierre-Jules MENE (1810-1879)
Ferdinand PARPAN (1902-2004) - Chat endormi - Bronze à patine noire - Signé et numéroté 4/8 - 18 x 12 x 9 cm - Certificat d'authenticité - Bibliographie : Ferdinand Parpan, sculpteur - Editions de l'amateur - Reproduit page 116 - Note : Parpan sait passer de la gravité, du mystère aux aspects familiers. Le chat vu ailleurs dans la majesté de son essence royale est ici ronronnant dans l'attitude familère du foyer.
Denys PUECH (1854-1942) - La Seine , 1886 - Bronze à patine brun sombre - Fonte Fumière et Cie - 24 x 71,5 x 14 cm - Modèle similaire envoyé pour le Prix de Rome en 1886 et Salon de 1887
Mikhail CHEMIAKIN (1943)
André DUNOYER de SEGONZAC (1884-1974)
Bernard BUFFET (1928-1999)