Cent trente œuvres de Nicolas de Staël, issues de collections publiques et privées, sont exposées au Havre
Oliver DEBRE (1920-1999)
Jusqu'au 6 janvier 2019, le Centre de création contemporaine Olivier Debré, à Tours, met en lumière les six toiles monumentales réalisées par le peintre au début des années 1990. Une exposition baptisée "Les Nymphéas d'Olivier Debré".
Olivier DEBRE (1920-1999)
Rose, taches blanches d'hiver
Maria Vieira da Silva, quelques résultats de vente
Maria Elena Vieira da Silva (1908 – 1992)
Louis Floutier (1882-1936) n’est pas né en Pays basque, mais à Toulouse, en 1882. C’est là-bas, à l’École des Beaux-arts qu’il entame son instruction artistique. Lauréat de l’école, il juge cependant ne pas en savoir assez, et enchaîne avec l’École des beaux-arts de Paris, dont il sortira lauréat également. Très vite, il enchaîne les récompenses (premier logiste au Concours du Prix de Rome en 1905, deuxième prix Chevanard…) et commence à se faire un nom.
Paul-Émile Pissarro est le cinquième et dernier fils de Camille Pissarro. Élevé dans un environnement artistique comme ses frères, il semble qu'il ait été le mieux prédisposé à la peinture.
Paul-Emile avait 19 ans à la disparition de son père en 1903. Il a donc le moins profité de ses merveilleux conseils. Il les a ainsi trouvés dans l'ami fidèle de Pissarro, Claude Monet. Paul-Emile s'est fixé à Lyons-la-Forêt où il a peint les bords de la Lieure. Peintre paysagiste et aquarelliste, sa technique ira de l'impressionnisme vers une simplification du langage pictural. Il aura une vision « Cézanienne ». Après Lyons-la-Forêt, il se fixe à Clécy dans le Calvados, là où il peint le tableau que nous présentons, où il décède en 1972 à l'âge de 87 ans.
Par respect pour leur père, par discrétion sans doute, les enfants de Pissarro signeront leurs oeuvres d'un pseudonyme. Lucien signait Lucien Venay, Georges-Henri : Manzana, Ludovic-Rodolph : Ludovic-Rodo puis Rodo et enfin, Paul-Emile a lié ses deux prénoms.
L'héritage extraordinaire de Camille Pissarro est le fondement de cette tradition familiale exceptionnelle qui continue à être redéfini et remodelé par la deuxième génération.
Camille BOMBOIS (1883 – 1970)
Frederick Arthur Bridgman (1847-1928)
Jean-Baptiste Durand-Brager
Jean-Gabriel DOMERGUE (1889-1962)
Albert PASINI (1826-1899)
André Devambez (1867-1944) est un peintre et illustrateur français.
Ces œuvres, qui datent du début du XXe siècle, avaient disparu sous le régime nazi. Elles étaient dissimulées au domicile d’un octogénaire. Explication.
Marie Mela MUTER (1876-1967)
Bernard BUFFET (1928-1999)
Charles CONTENCIN (1898-1955) - Paysage de montagne - Huile sur isorel signée en bas à gauche - 45 x 37 cm
Charles CONTENCIN (1898-1955) - Mountain landscape - Oil on isorel signed lower left - 45 x 37 cm
Charles CONTENCIN (1898-1955) - Chalet en été
Eugène Fromentin (La Rochelle 1820 - Saint Maurice 1876)
Charles CONTENCIN (1898-1955) - Lac Cottepens (Sept Laux)
Edouard Cortès est le fils d’Antoine Cortès, peintre de Cour espagnol réputé, et le petit-fils d’André Cortès, artisan.
Huile sur toile, signée en bas à droite représentant Notre Dame à Paris
Ce tableau a été exécuté aux environs de 1965
33 x 46 cm
Jacques GERMAIN (1915 – 2001)
Jacques GERMAIN (1915-2001)
Jacques GERMAIN (1915- 2001)
Mikhail Larionov (1881-1964)
Alexander Iacovleff (1887-1938)(Александр Евгеньевич Яковлев, Aleksandr Ievguenievitch Iakovlev) est un peintre d’origine russe, naturalisé français, célèbre pour ses portraits d’Asiatiques et d’Africains.
Eugène LEROY (1910-2000)
Eugène LEROY (1910-2000)
Eugène LEROY (1910-2000)
Guy BARDONE (1927-2015)
Ce tableau est présenté aux enchères et fait partie d'un ensemble de quatre oeuvres de Kiyoshi Hasegawa provenant de la même collection.
Kiyoshi HASEGAWA (1891-1980)
Ce tableau fait partie d'un ensemble de trois oeuvres sur toile présentée dans la même vente aux enchères faisant partie de la même collection.
Ce tableau fait partie d'un ensemble de trois oeuvres sur toile présentée dans la même vente aux enchères faisant partie de la même collection.
Au début de sa carrière (1920-1930), Jean Fautrier fut un peintre figuratif. Ses tableaux sont sombres, très sombres. Fautrier qualifie ses œuvres des années 1926-1927 de "période noire".