Ranucci est né en Italie en 1925. Il a juste vingt ans lorsqu’il émigre en Argentine puis au Pérou, en Ecuador, au Costa Rica et aux Etats-Unis. Sa formation culturelle et artistique à lieu principalement en Amérique Centrale où il connaîtra et subira la forte influence des grands muralistes comme David Alvaro Siqueiros, José Clemente Orozco, et surtout Diego Rivera qu’il a connu de très près.
Mathieu Matégot (1910-2001)
Mathieu Matégot est un designer contemporain de qualité dont le style est très reconnaissable. Appliques, mobilier de jardin, table roulange, porte-plantes, porte-revues, console, suspension, table, tout un panel de mobilier à l'actif de Mathieu Matégot. Les prix sont encore aujourd'hui accessibles : retenons une table roulante à deux plateaux en métal et tôle perforée, vendue 800 euros, une belle console en tube de métal relaqué adjugée 1800 euros. Pourquoi pas une bibliothèque jardinière en métal relaqué blanc.
François Vandenberghe, un passionné d'éléphant
François Vandenberghe, originaire d’Eure et Loir, a passé 27 années de sa vie au Gabon.
Miss Tic, artiste connue et reconnue, icône de l'art urbain
Poète, plasticienne et figure incontournable du street art, Miss.Tic développe un univers pictural et poétique qu’elle imprime au pochoir sur les murs de Paris depuis 1985. Avec des dessins de femmes caractéristiques et des phrases incisives, ses créations expriment la liberté. Tout son art repose sur un subtil mélange de légèreté et de gravité, d’insouciance et de provocation.
Lucien Fontanaroa, un travailleur acharné
Peintre, lithographe, illustrateur, Lucien Fontanarosa est né à Paris de parents italiens. En 1932, il est refusé au concours d'entrée à l'École des beaux-arts, mais entre comme élève libre à l'atelier de Lucien Simon. En 1936, il obtient le premier grand prix de Rome. De 1937 à 1939, il séjourne à la villa Médicis et fait la connaissance d'André Gide. En 1946, il fait partie du jury au concours de Rome ; en 1955, il est membre de l'Institut et, en 1957, il est fait chevalier de la Légion d'honneur. En 1963, la ville de Paris lui décerne sa médaille de vermeil. Il enseigna à l'École polytechnique de 1958 à 1972.
Albert Decaris, le face à face avec la plaque de métal
Le cuivre en plaque a été, jusque vers 1820, le seul métal sur lequel on gravait en creux, pour obtenir des gravures ou eaux-fortes. Les plaques d'acier ont d'abord été utilisées dans les années 1820 pour imprimer de grandes séries de billets de banque.
Kumi Sugaï est un peintre de compositions animées, figures, paysages, animaux
peintre à la gouache, graveur, lithographe,sculpteur. Figuratif puis abstrait, japonais du xxe siècle, né le13 mars 1919 à Kōbe, mort le 14 mai 1996. Il est actif en France depuis 1952.
Katrin Fridriks, une artiste à part
Katrin Fridriks fusionne les énergies naturelles de son Islande natale par l’intermédiaire d’un expressionnisme abstrait, explosif et organique, soulignés par de subtils signes de calligraphie japonaise, le tout souvent filtrés au travers d'installations picturales, distillant son questionnement sur la société et le futur. Elle explore entre autres des thèmes tels que le code génétique et la classification du génome, les flux incessants d'information auxquelles les sociétés contemporaines sont soumises, ou encore l’épuisement des ressources naturelles et les conséquences de l’activité humaine sur la Terre. Les dimensions et la composition architecturale des peintures abstraites soulignent l'intérêt de l'artiste pour les compositions de grand format, jouant ainsi avec la taille, l'épaisseur et la forme des toiles. D'autre part, son travail pictural l’a amené à l'élargissement de ses drippings jusqu'à couvrir entièrement ses toiles.
Edmond Marie Petitjean, peintre paysagiste et de marines
Edmond Marie Petitjean est né à Neufchâteau (88) en 1844, il meurt à Paris en 1925.
Bernard Rancillac est un artiste plasticien, artiste-peintre et sculpteur français né le 29 août 1931à Paris.
Il vit et travaille en région parisienne.
James Pichette, peintre français (Châteauroux 1920-Paris 1996).
Jusqu'en 1947, il hésite entre le métier d'acteur et celui d'artiste peintre. Cette année-là, il expose au Salon des surindépendants une toile de veine cubiste. Il s'oriente ensuite vers des compositions abstraites que l'on peut qualifier de " vaguement surréalisantes ".
Willy Rizzo, un photographe et un designer de génie
Il ne s'est jamais arrêté de déclencher. Depuis plus de 70 ans, Willy Rizzo photographiait les stars, ses stars. Marilyn Monroe, Picasso, Brigitte Bardot, Marlene Dietrich ou Jack Nicholson, qui était devenu l'un de ses meilleurs amis, quelques noms parmi tant d'autres. Il y a encore quelques jours, il suffisait de passer la porte de son studio rue de Verneuil pour le croiser avec son appareil. L'oeil dans le viseur ou sur le dessin d'un nouveau meuble, il aura jusqu'au bout marqué de ses négatifs et de ses traits de crayon l'histoire de la photographie et du design du XXe siècle.
Aslan, un amoureux des femmes
«Je peins et sculpte la femme, le plus beau sujet donné aux artistes, car il est inépuisable et éternel. Pour me situer, je me définirais comme peintre et sculpteur intimiste hyper-figuratif. Je suis amoureux de la nature et de ses lois», disait le dessinateur Aslan, célèbre pour ses pin-up aux courbes sensuelles, notamment publiées dans le magazine de charme Lui. L'artiste français s'est éteint en 2014, à l'âge de 84 ans, d'un accident cardiaque au Canada où il vivait depuis une vingtaine d'années.
Franz Beer, peintre abstrait autrichien.
Peintre abstrait, né à Vienne (Autriche) en 1929, Franz Beer suivit les études artistiques de l’Académie des arts et de peinture de Vienne de 1944 à 1950 et obtint son diplôme en 1950.
Claude-Émile Schuffenecker, dit Émile Schuffenecker, peintre français post-impressionniste.
Schuffenecker est connu pour ses portraits, ses paysages animés, ses marines. Il est également dessinateur, pastelliste et architecte.
János Vaszary (1867-1939) est un peintre hongrois.
Il étudie d’abord à l’Ecole des Beaux-Arts Décoratifs, aillant comme maître Bertalan Székely. Il continue à Munich puis à l’Académie Julian à Paris.
René Magritte (1898-1967) est un peintre surréaliste belge.
René Magritte a eu une enfance difficile : le business de ses parents qui ne fonctionne pas, sa mère qui se suicide par la noyade, et son éducation qui ne vient pas du père mais des gouvernantes. Il commence des cours de peinture et c’est en 1915 que Magritte peint ses premières œuvres impressionnistes.
André Lhote (1885-1962) est un peintre français.
Né à Bordeaux en 1885, André Lhote commence dès 1897 une formation chez un fabricant de meubles pour devenir sculpteur de bois. En parallèle, il étudie la sculpture décorative à l’Ecole des Beaux-Arts de Bordeaux.
André Hambourg (1909-1999) est un peintre français.
Né à Paris, André Hambourg se consacre directement à l’art, en intégrant l’Ecole des Arts Décoratifs pour étudier la sculpture, et l’Ecole des Beaux-Arts pour la peinture. Sa première exposition en Galerie est en 1928 et il reçoit son premier prix, celui de la Villa Abd-El-Tif d’Alger (elle est l’équivalent de la Villa Médicis).
Georg Baselitz est un peintre allemand.
Georg Baselitz est né sous le nom de Hans-Georg Kern en 1938. Dès 15 ans, il peint des portraits, paysages, dont certains avec un style futuriste. En 1956, il est accepté à l’Ecole de Arts Plastiques et des Arts Appliqués de Berlin-Est, mais expulsé deux semestres plus tard pour « immaturité socio-politique ». Accepté par la suite à l’Ecole de Berlin-Ouest, il étudie Malevitch et Kandinsky.
Quelle valeur des oeuvres de Yaacov Agam sur le marché de l'art ? Connaître l'estimation d'oeuvres d'Agam.
Les résultats obtenus en ventes aux enchères sont très disparates les dessins se négocient entre 200 et 16.000 euros, les sérigraphies entre 300 et 3.000 euros.
Éloi-Noël Bouvard
Éloi-Noël Béraud (1875-1957) est un peintre français qui a signé ses œuvres de nombreux noms dont les plus connus sont Bouvard, et Marc-Aldine.
Wilfredo Lam (1902-1982) est un peintre et graveur cubain.
Né à Sagua la Grande, à Cuba, Wilfredo Lam se dirige directement vers le monde artistique en s’inscrivant à la Escuela Profesional de Pintura y Escultura (Ecole Professionnelle de Peinture et de Sculpture). Grâce à l’obtention d’une bourse, il part étudier en Espagne, où il restera quatorze ans. Cette période en Europe est fondamentale pour son évolution professionnelle en tant qu’artiste : il étudie les plus grands maîtres de la peinture espagnole, l’art moderne… Mais il s’intéresse aussi à différents mouvements politiques qui feront naître des dessins antifascistes visant la lutte contre Franco.
Jean-Baptiste Clésinger dit Auguste (1814-1883) est un sculpteur et peintre français.
Clésinger apprend la sculpture auprès de son père, grand sculpteur académique, Georges-Philippe Clésinger. Ce dernier l’emmène à Rome six ans, où il deviendra l’élève de l’artiste danois néo-classique Bertel Thorvaldsen qui l’influence pour le reste de son œuvre.
Alexander Kosolapov, une critique de la société de consommation et ses dérives.
Qui est Alexander Kosolapov ?
Jean-Baptiste Carpeaux à Orsay
Qui était Jean-Baptiste Carpeaux ?
Jean-Baptiste Carpeaux, fils d'un maçon et d'une dentellière de Valenciennes, se construit un destin d'exception étroitement lié à la "fête impériale" du règne de Napoléon III.
Celui qui tranchait vivement dans le milieu artistique de son temps constitue également l'une des plus parfaites incarnations de l'idée romantique de l'artiste maudit : par la brièveté et la fulgurance de sa carrière, concentrée sur une quinzaine d'années, par la violence et la passion d'un labeur sans relâche sur les sujets qu'il choisit ou qui lui sont commandés (le pavillon de Flore du Louvre, La Danse pour l'opéra de Charles Garnier).
Léon Zack (1892-1980)
Qui était Léon Zack ?
Léon Zack est né à Nijni-Novgorod, en Russie, en 1892. Son premier maître sera Jakimtchenko. Puis il travaille à Moscou dans les ateliers de Mashkov et de Rerberg, le fondateur du groupe « Valet de carreau », en opposition à l’académisme régnant. Léon Zack exposera pour la première fois en 1907 au Salon de la Fédération des Peintres Moscovites, tout en poursuivant ses études de lettres à l’université. En 1913, le jeune étudiant hésite entre la peinture et la poésie.
Il fuit la Russie en 1920 avec sa femme et leur bébé Irène. Ils vivent à Constantinople, puis à Rome, Florence avant de s’installer à Paris où Zack rencontre Picasso et Larionov. Deux ans plus tard, il crée à Berlin les décors et costumes pour les ballets russes de Boris Romanoff et réalise ses premières lithographies. Il se fixe définitivement à Paris en 1923.
En 1930, Zack adhère au groupe du néo-humanisme - à contre-courant du cubisme - et participe à de nombreuses expositions à Bruxelles, Amsterdam ou Prague. Sa peinture est toujours figurative, la représentation humaine très importante.
Zack participe à tous les grands salons : Mai, Indépendants, Réalités Nouvelles, Comparaisons, Art sacré, etc. A partir de 1946, sa peinture se modifie et se libère de la figuration. Des traits noirs torturent les contours des visages. Peu à peu, l’abstraction devient une évidence. D'abord au couteau, puis par de grands lavis. Les nœuds deviennent omniprésents, répétitifs, traduisant ses tourments et ses angoisses. Jusqu’en 1955, l’abstraction géométrique domine, elle se transformera en lyrique, la forme devenant de plus en plus épurée, spirituelle.
Léon Zack comprend peu à peu que le sujet lui-même n’a plus d’importance, que seules les nuances, les formes comptent. Il participe aux origines de l’abstraction informelle et sera l’un des précurseurs et des grands représentants de la tendance « nuagiste ». La philosophie prend de plus en plus d’importance dans sa vie et son œuvre.
La dualité sera omniprésente dans son œuvre. Le juif devenu fervent catholique, le russe devenus français…d’où son intense activité créatrice : illustrations, création de décors et costumes pour le théâtre, création de carton pour la tapisserie, interventions multiples dans le domaine de l’art sacré (chemins de Croix, vitraux, autels, etc.), textes poétiques qu’il illustre lui-même.
En 1977, le Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris lui consacre une grande rétrospective. Léon Zack s’éteint à Paris en 1980.
Albert Carrier-Belleuse à redécouvrir à Compiègne
COMPIEGNE : Musées du Palais Impérial - Château de Compiègne
Stanley William Hayter (1901-1988)
Qui était Stanley William Hayter ?
Stanley William Hayter, né le 27 décembre 1901, à Hackney en Londres, et mort le 4 mai 1988 (à 86 ans), à Paris, est un peintre non figuratif britannique de la nouvelle école de Paris, dont l'œuvre, à partir de 1932, a été essentielle dans le renouveau de la gravure moderne.
André Masson
Qui était André Masson ?
André Masson, peintre et graveur, naît à Balagny dans un village de l’Ile de France. En 1904, il s’établit à Bruxelles où il suit des cours à l’Académie des Beaux-Arts. André Masson quitte cette ville pour vivre Paris en 1912. Là, il est accepté dans l’atelier de Paul Baudoin de l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts. Lorsque la guerre éclate, Masson est embrigadé. Gravement blessé, il doit séjourner plusieurs mois dans un hôpital militaire en 1917.
Masson rentre à Paris en 1922. Son art y est influencé tout d’abord par André Derain et par le cubisme. Peu de temps après, il entre en contact avec les surréalistes et rejoint leur mouvement en 1924. La première exposition des surréalistes, à laquelle Masson participe également, a lieu dans la Galerie Pierre en 1925. Masson quitte le groupe cinq ans plus tard dans un élan de protestation contre l’ambition autoritaire d’André Breton qui veut en prendre la direction. Grâce au surréalisme, Masson est sensibilisé à l’accès à l’irrationnel et aux sources psychologiques de l’art. Il cherche à analyser leur caractère profond à l’aide de l’écriture automatique issue de l’inconscient. En prenant cette méthode comme point de départ, méthode à laquelle il est désormais plus ou moins fidèle, Masson développe les célèbres tableaux de sable composés avec de la colle et du sable de différentes couleurs. La délimitation libre des formes et l’accentuation des lignes de ses œuvres graphiques témoignent de l’étude de la calligraphie de l’Asie orientale. Masson retient souvent ses violentes et terribles visions en traçant des lignes oscillantes comme sous l’effet de la transe ou en pratiquant également l’écriture dans un état d’extase et d’agitation. Cependant, derrière la spontanéité et le sentiment passionné, l’observateur peut reconnaître la plupart du temps une structure ordonnée cubiste sur ses tableaux. A partir de 1942, alors que Masson fuit la France occupée pour les USA, il crée alors des figures fragmentées ou figures de l’horreur. Il s’intéresse à de tels motifs jusque dans les années 60. Masson vit de nouveau à Paris à partir de 1945. Il rompt définitivement avec le surréalisme. L’œuvre à plusieurs facettes de Masson comprend entre autres des illustrations de livres et des décors. En 1966, il peint le plafond du théâtre parisien de l’Odéon.
Dans ses œuvres, il est toujours resté près de l’objet malgré le fait qu’on l’adule et qu’on le considère comme étant l’initiateur de l’expressionnisme abstrait, en particulier aux USA. Masson désire faire de sa propre vision une réalité et non pas photographier l’événement du jour.
Charles Virion, artiste sculpteur de Haute Claire
Qui était Charles Virion ?
Voici un joli témoignage, vibrant d'émotions de la fille de l'artiste Charles Virion que nous vous invitons à lire.
Gérard Schneider, un triomphe de l'art abstrait
Qui était Gérard Schneider ?
Le peintre d'origine suisse Gérard Schneider ( 1896 -1986 ) est sans doute l'un des plus grands maîtres de l' "Abstraction Lyrique ", et de ce mouvement qui marque le triomphe de l'art abstrait dès la fin de la seconde guerre mondiale.
On peut citer de nombreux autres peintres, qui à ses cotés, au travers le monde, ont écrit l'histoire de l'art du XXème siècle, comme les français Bazaine, Debré, Estève, Fautrier, Manessier, Mathieu, Soulages, les russes Poliakoff, de Staël, l'allemand Hartung, l'américain Jenkins, la portugaise Vieira da Silva, le chinois Zao Wou Ki, le canadien Riopelle, le Hollandais Bram Van Velde, parmi d'autres ... Mais dans ce mouvement de l'art abstrait, si créatif et si diversifié, il est l'un de ceux avec Hans Hartung, et Pierre Soulages, qui se distingue, par une pratique picturale qui laisse toute la place à la spontanéité du geste.
C'est à l' âge de quatorze ans ans, à Neuchâtel, qu'il découvre la peinture, en se passionnant pour Raphaël et Léonard de Vinci, au travers les livres, qui lui sont prêtés par son professeur Alfred Blailé. Mais très rapidement, à partir de 1919, il trouve également dans les oeuvres de Delacroix, Courbet ou Cézanne, matière à sa propre inspiration, lorsqu'il est reçu à l'Ecole Nationale des Beaux Arts de Paris, en suivant les cours du peintre Cormont, qui fut le professeur de Van Gogh et de Toulouse Lautrec.
Jusqu'à la veille de la guerre 1939-1945, il travaille en perfectionnant sa connaissance de la peinture, il restaure des tableaux anciens, il compose ses premières oeuvres abstraites, dont " Figures dans un jardin " en 1936, et s'adonne aussi à la musique, une autre passion.
Mais c'est l'année 1944 -1945, qui constitue un tournant dans l'oeuvre de Schneider. Dans un désir permanent de recherche, de renouvellement et d'invention, et en se présentant comme un peintre totalement abstrait et subjectif, il s'oppose aux idées d'artistes tels que Bazaine, Manessier ou Lapicque, qui affirment puiser leur inspiration dans la nature.
En 1947, Gérard Schneider expose pour la première fois avec Hans Hartung et Pierre Soulages au Salon des Surindépendants, en présentant avec eux des oeuvres très sombres, puis expose treize tableaux la même année à la Galerie Lydia Conti, qui lui valent la faveur des critiques.
L'année suivante, il est invité à la Biennale de Venise, où il est considéré comme l'un des artistes les plus significatifs de l'avant garde. Il expose une seconde fois à la Galerie Conti, et prend la nationalité française, pour décider finalement de rester à Paris.
Après avoir expérimenté de multiples techniques, il en arrive à une expression gestuelle de sa technique, où formes et couleurs éclatent avec force, émotion, passion, dans un romantisme moderne, où l'instantanéité et la véhémence dominent, traversées par des éclairs de joie ou de lumière.
" Il faut voir, dit-il, la peinture abstraite comme on écoute la musique, sentir l'intériorité émotionnelle de l'oeuvre sans lui chercher une identification avec une représentation figurative quelconque. Ce qui est important, ce n'est donc pas de voir l'abstrait, c'est de le sentir. Si une musique me touche, m'émeut, alors j'ai compris quelquechose, j'ai reçu quelquechose "
" Dans ce que je considère comme une évolution naturelle j'ai surtout apprécié la théorie surréaliste de la libération du subconscient. L'abstrait c'est la libération de tout conditionnement extérieur, c'est l'aboutissement d'un processus de création individuelle, de développement personnel dont les formes n'appartiennent qu'à moi-même. J'assimilerai cette démarche à l'improvisation musicale: quand je fais du piano pendant plusieurs heures, il m'arrive d'improviser en fonction d'un état psychologique précis; en peinture quand je prends une brosse ou un pinceau, une mécanique de création se déclenche et ma main vient porter un signe, préciser une forme, qui dépend de mon état intérieur; c'est une improvisation, une création spontanée."
Il se joint de 1949 à 1952 à ses amis Hartung et Soulages, pour participer à de multiples expositions, par lesquelles les critiques, dont en premier lieu l'écrivain Michel Ragon, les dénommeront les maîtres de " l'abstraction lyrique ".
Les années 1951à 1961, verront l 'affirmation de l'oeuvre en France et la consécration de Gérard Schneider à l'étranger, en Allemagne, en Belgique, en Italie, d'abord, au travers multiples expositions, dont celles de Tokyo et d'Osaka au Japon en 1960, où il est reconnu comme l'un des artistes contemporains parmi les plus considérables, puis aux Etats-Unis, où de nombreuses galeries, comme en particulier la Galerie Kootz, organisera durant cette période pas moins de cinq expositions consécutives.
Les années 1962 à 1972 sont les années " lumière " de Schneider. Ses talents de coloristes prennent de l'amplitude, les aplats de couleurs monochromes gagnent de l'espace dans la toile, elles deviennent forme et les formes deviennent couleurs.
En 1975, l'artiste reçoit le Grand Prix National des Arts, en France, attribué par le Ministère de la Culture, qui est une reconnaissance tardive, mais officielle par son pays d'adoption, de l'importance de son oeuvre.
Sa ville de naissance, Neuchâtel, en Suisse, lui consacre en 1983 une importante rétrospective, ainsi que la ville de Dunkerque, tandis qu'il poursuit son oeuvre avec des grandes compositions de peintures acryliques sur toile ou de gouache sur papier, toutes empreintes de lumière et de flamboyance, qui resteront parmi les plus belles. Il meurt le 8 juillet 1986. Source : le monde des arts
Serge Poliakoff, cote de l'artiste : peinture, dessin, lithographies
Qui était Serge Poliakoff ?
Revenons tout d'abord sur quelques éléments biographiques concernant Serge Poliakoff.
Jean Bazaine, quelle valeur sur le marché de l'art ?
Qui était Jean Bazaine ?
Jean Bazaine, né le 21 décembre 1904 à Paris 17e, mort le 4 mars 2001 à Clamart, est un artiste français.
Quelle est la valeur d'une sculpture de George Lavroff?
Qui était George Lavroff?
George Lavroff naît en Sibérie le 18 avril 1895. Sa production comment en Sibérie puis à Moscou.En 1927, il part en France créant de nombreuses sculptures animalières art déco. Les sculptures de Lavroff, en bronze et en céramique, animent très rapidement une belle réputation. .De retour en Russie en 1935, George Lavroff devient artiste officiel et crée, en rapport avec ce statut et le régime soviétique, des sculptures monumentales et des bustes des dirigeants soviétiques. Le sculpteur George Lavroff s'éteint le 29 août 1991.
Jean Jules Salmson, un sculpteur français classique, quelle valeur ont ses bronzes?
Vous possédez une sculpture de Jean Jules Salmson mais vous n'en connaissez pas la valeur. Expertisez.com communique gratuitement toute estimation des sculptures de Salmson.
Parvine Curie
Biographie
D’origine franco-iranienne, Parvine Curie est née à Nancy en 1936. Son enfance à Troyes a été marquée par les tours, les colonnes et les voûtes qui jalonnent la ville. Sa jeunesse, bouleversée par de fréquents déplacements, s’ancre dans l’imaginaire de la littérature et des arts. Elle fait ses études à Bordeaux, passe son bac à Paris, où ses parents tiennent une pharmacie, entreprend des études linguistiques et part découvrir l’Angleterre, l’Autriche, l’Espagne et l’Italie. De caractère réservé mais ouvert, sa curiosité vive favorise des amitiés dans les milieux internationaux d’artistes et d’intellectuels.
La découverte de l’art roman catalan l’incite, dès 1957, à partager son temps entre la France et l’Espagne.
Demetre H. Chiparus, La Danseuse Exotique, Sculpture chryséléphantine - VENDUE
Sculpture de Demeter Chiparus en vente aux enchères
Demeter Chiparus (1886-1947)
Jean Fautrier, représentant de l'art informel
Qui était Jean Fautrier ?
Jean Fautrier est considéré avec Jean Dubuffet, comme l’un des peintres le plus représentatif de l’art informel en France, avec son plein essor dans la période de l’après-guerre de 1945 à 1960. Mais il choisit de toujours rester de son vivant à l’écart de la scène artistique officielle.
L’art informel regroupe à la fois le courant de l’abstraction lyrique avec ses techniques d’expressions essentiellement gestuelles, le matiérisme sont l’objet est de travailler les matières sur les surfaces de la toile, et par rapprochement, le spatialisme dont les recherches portent sur les dimensions de l’espace et du temps et sur la lumière.
D’autres courants, comme le mouvement CoBrA, le Groupe Gutai, l’expressionnisme abstrait en Allemagne, l’Action Painting aux Etats-Unis de Jackson Pollock peuvent être rapprochés aussi de ce mouvement pictural de la fin du XXème siècle.
Jean Fautrier est né le 16 Mai 1898 à Paris et, à la mort de son père, il est recueilli par sa grand-mère irlandaise. Au début des années 1910, il s'installe avec sa mère à Londres et entre admis à la Royal Academy dès l'âge de ses quatorze ans. Il est très marqué dès cette époque par les travaux de Turner qui restera pour lui une référence tout au long de sa vie.
En 1917, il est mobilisé dans l'armée française et se trouve gazé dans les tranchées près de Montdidier.
Il parvient à se rétablir et s'installe à Paris après la guerre et expose pour la première fois en 1921, date à laquelle commence véritablement sa carrière de peintre. Il se lie d’amitié avec André Malraux qui lui fait connaître le milieu intellectuel parisien.
Il expose ses premiers tableaux à la Galerie Fabre en 1923, et réalise en 1927 une série de peintures figuratives portant sur différents thèmes tels que portraits, natures mortes, nus et paysages dans lesquelles les couleurs sombres prédominent. En 1933, il se partage entre sculpture, peinture, et gravure, et réalise une édition illustrée de l’Enfer de Dante pour les Editions Gallimard, qui finalement n’aboutira pas.
Ses quelques succès en peinture ne lui suffisent pas et il décide de devenir moniteur de ski à Tignes. En 1934, il crée là une boîte de jazz dont il gardera la gestion jusqu’en 1939. De temps en temps, il continue cependant de peindre.
De retour à Paris, il noue des liens d’amitiés avec Francis Ponge, Paul Eluard, Georges Bataille et Jean Paulhan. Il s’engage peu après dans la résistance, et se réfugie courant 1943 dans la clinique du Docteur Le Savoureux installée dans l’ancienne maison de Chateaubriand à Châtenay Malabry.
En 1943, il réalise sa vingt-deuxième et dernière sculpture, la grande « Tête d'otage », tandis qu’il utilise la Villa Barbier abandonnée, proche de là, comme cache d’armes pour les résistants.
Il poursuit là en même temps ses activités artistiques, et notamment la série intitulée « Les Otages » très marqué qu’il est par l’occupation allemande et par les exécutions perpétrées à quelques pas de là, dans l’actuel « Mémorial des Fusillés ».
En 1945, à la fin de la guerre, Jean Fautrier décide de louer la Villa Barbier et de s’y installer avec sa famille. Il travaille à l’illustration de différents livres, dont ‘ L’Alleluiah » de bataille. Il expose cette même année à la Galerie Drouin, avec un catalogue d’oeuvres présentées par André Malraux.
Mais Jean Fautrier ne parviendra pas à une réelle sécurité matérielle avec la vente des ses tableaux, et déçu par ses ventes, il essaie avec sa compagne Janine Aeply , en 1950 de mettre au point un procédé de production,
« les originaux multiples » lui permettant de vendre des peintures moins chères qu’elles ne sont proposées par les galeristes.
Entre 1953 et 1956, Jean Fautrier poursuit ses expositions en France et à l’étranger, malgré le faible succès de ses oeuvres.
En 1956 , en réaction à l'invasion de Budapest par les russes il reprend le motif des « Otages » pour la suite des « Têtes de partisans », comme variations sur le poème de Paul Eluard "Liberté, j'écris ton nom" écrit en 1942.
Il poursuit son travail les années qui suivent avec des toiles plus structurées dans lesquelles se superposent et s’entrecroisent des lignes colorées, des stries, et grilles à plusieurs côtés
En 1960, il reçoit le Grand Prix de la Biennale de Venise et fait en 1963 deux donations importantes, l’une au Musée d’Ile de France dont « Les Otages » et l’autre
au Musée d’Art Moderne de Paris.
Une grande exposition de son oeuvre est organisée durant l’été 1964, qu’il n’aura pas le temps de visiter, car il décède à Châtenay Malabry le 21 juillet 1964, le jour où il devait épouser Jacqueline Cousin, la compagne qui partageait sa vie à la Maison Barbier depuis deux ans.
Georges Mathieu, tableau provenant de la succession d'Eliane Allegret
Tableau acrylique de Georges Mathieu en vente aux enchères
Georges Mathieu
Musée des Beaux Arts de Bordeaux
Cette exposition-dossier du musée des Beaux-Arts est en partenariat avec la DRAC Aquitaine et le Centre Pompidou présentée dans l'aile nord du musée du 15 mai au 24 août 2014 (entrée libre)
1926, LA MAISON-ATELIER DE CHANA ORLOFF
Construction de la maison
L’histoire commence en 1924. Jean Lurçat, peintre renommé, connu pour avoir renouvelé l’art de la tapisserie en France, et son frère André, jeune architecte, ont le projet de créer une cité d’artistes. La ruelle prendra le nom de Villa Seurat, en hommage au peintre pointilliste, et accueillera résidences et lieux de travail de nombreux créateurs. En 1926, la sculpteur Chana Orloff y fait construire sa maison-atelier par l’architecte Auguste Perret.
Bernard Lorjou, vente aux enchères
Tableau de Bernard Lorjou en vente aux enchères
Nature morte aux fruits
Jean Puy, un peintre fauve
Qui était Jean Puy ?
Jean Puy, né le 7 novembre 1876 à Roanne, où il est mort le 6 mars 1960, est un peintre français proche du fauvisme.
Lobo Casuero Balthasar, hommage à la femme (1910-1993)
Artiste espagnol, les sculptures de Balthasar Lobo sont un hommage à la femme, source d'inspiration sans cesse renouvelée : femme nue, femme et enfant, autant de déclinaisons de l'artistes au travers d'un style très personnel fait de courbes si typiques de l'artistes
Lorenzo Burchiellaro
Né à Venise en 1933, Lorenzo Burchiellaro travaille princpalement le métal tels le brozne, le zinc, l'alluminiumn l'or ou l'argent, mais sa préférence va au cuivre. Les couleurs sont les résultats d'un processus naturel provenant de l'application d'acide, d'oxydation et de chauffage qui contribue à rendre un effet chromatique hors pair.
Takis Vassilakis, sculpteur grec
Takis Vassilakis est un sculpteur grec né en 1925 à Athènes. Son œuvre est influencée par l’invention du radar en 1955 et lorsqu’il découvre les champs magnétiques en 1958. Il utilise la force invisible de l’électromagnétisme pour créer une atmosphère mystérieuse issue des signaux ferroviaires. Ses premiers signaux sont des tiges métalliques flexibles qui clignotent puis il fait danser des boules géantes suspendues grâce à l’action de l’électro aimant. En ajoutant des amplificateurs il fait résonner ses sculptures d’une musique hiératique impressionnante. Il rencontre Marcel Duchamps en 1961, et est cité dans le « New Scientist » à coté de Yannis Xenaxis et Jonh Cage comme un des musiciens les plus prometteurs du siècle.
Ses œuvres font parties de nombreuses collections privées et public dans le monde entier. Trois de ses signaux sont exposés dans la collection permanente du Musée Georges Pompidou à Paris.
Zinaïda Serebriakova
est une artiste peintre russe (1884-1967). Son nom de jeune fille d'origine française Lanceray parfois directement du russe Lansere. Elle naît dans un famille d'artiste : son grand-père était un célèbre architecte, son père un sculpteur. Zinaïda étudie en Italie puis à Paris.
Józef Czapski / Joseph Czapski
(né en 1896 à Prague, Autriche-Hongrie - mort en 1993 à Maisons-Laffitte, France) il était un artiste polonais,peintre, écrivain, essayiste et critique d'art, qui traversa le xxe siècle, et combattit comme officier de l'armée polonaise au cours de la Seconde Guerre mondiale. Il fut l'un des rares survivants des massacres d'officiers perpétrés en 1940 par l'Union soviétique.
Louise Abbéma, femme artiste
L'artiste peintre française Louise Abbéma naît en 1853 à Étampes. Elle décède en 1927 à Paris.
Eugène Alluaud (1866-1947)
Fils d’Amédée Alluaud, l’un des grands animateurs de la vie culturelle limousine sous le Second Empire, Eugène Alluaud est l’un des membres les plus assidus de la colonie creusoise, autour de Rollinat et de Guillaumin.
Francis Apesteguy, un photographe Matador
Jeune paparazzi en 1972 à l’agence Sipa Press puis à l’agence Angeli, Francis Apesteguy commence sa carrière de photographe tel un "matador" qui surprend les stars les plus illustres de l’époque. Il rentre à l’agence Gamma en 1977 et y passe 30 ans en réalisant des reportages à travers le monde qui aiguisent sa dextérité.
Albert Féraud, un sculpteur du fer
Albert Féraud fait ses études aux écoles des beaux-arts de Montpellier, de Marseille et de Paris dans l’atelier d’Alfred Janniot. Il est premier grand prix de Rome de sculpture en 1951. Entre 1950 et 1960, il exécute de nombreuses œuvres en pierre ou en bronze.
Carlos Cruz-Diez, cote et estimation
Carlos Cruz-Diez est l’un des acteurs majeurs et l’un des principaux représentants de l'art optique. Il est né à Caracas, auVenezuela, le 17 août 1923, mais il vit et travaille à Paris depuis19601. Ses multiples investigations ont apporté une nouvelle approche sur le phénomène de la couleur dans le domaine de l’art en développant notamment l’univers perceptif de celle-ci. Il est président de la Fundación del Museo de la Estampa y del Diseño Carlos Cruz-Diez à Caracas et membre de l’Orden de Andrés Bello (OAB). En 2005, sa famille créa la Cruz-Diez Fondation2 dédiée à la conservation, développement, diffusion et investigation de l’héritage artistique et conceptuel de l’artiste.
Sir Edwin Landseer, né le 7 mars 1802, mort le 1er octobre 1873, est un peintre et sculpteur britannique.
La sculpture animalière
La sculpture animalière est un genre de sculpture qui se caractérise par des œuvres dont le sujet principal est un animal, domestique, sauvage ou imaginaire.
Charles Kvapil
L'œuvre de Charles KVAPIL (1884 - 1958) est influencée par le fauvisme. Il a fait partie de l'Ecole de Pairs et, tout en habitant à Montmartre, il fréquenta les artistes de Montparnasse. Dès 1920, il expose au Salon des Indépendants.
Walasse Ting
Walasse Ting (13 octobre, 1929 à Shanghai – 17 mai 2010) est un artiste et poète américain d'origine chinoise. Parfois, on se sert de son nom chinois 丁雄泉 "ou ses traductions en mandarin et cantonais: Ding Xiongquan ou Ting Hsiung-ch'uan.
Ianelli, Arcangelo (1922 - 2009)
Arcangelo Ianelli (São Paulo, SP, 1922 - idem 2009). Peintre, sculpteur, illustrateur et dessinateur. Il apprend le dessin en autodidacte. En 1940, il étudie la perspective à l'Associação Paulista de Belas Artes [Association Pauliste des Beaux-Arts] et, en 1942, est orienté en peinture par Colette Pujol (1913 - 1999). Deux ans après, il fréquente l'atelier de Waldemar da Costa (1904 - 1982), avec Lothar Charoux (1912 - 1987), Hermelindo Fiaminghi (1920) et Maria Leontina (1917 - 1984). Dans les années 1950, il fait partie du Grupo Guanabara [Groupe Guanabara], avec Manabu Mabe (1924 - 1997), Yoshiya Takaoka (1909 - 1978), Jorge Mori (1932), Tomoo Handa (1906 - 1996), Tikashi Fukushima (1920 - 2001) et Wega Nery (1912), entre autres. À partir des années 1940, il produit des scènes du quotidien, des paysages urbains et des marines révélant une grande synthèse formelle et une gamme chromatique de tons rabaissés. Vers les années 1960, il reprend l'abstractionnisme et réalise des toiles présentant une densité de matière et des couleurs sombres. À la fin des années 1960, son oeuvre est à la fois linéaire et picturale. L'emploi des graphismes s'y distingue. À partir de 1970, il se dirige vers l'abstraction géométrique et utilise principalement des rectangles et des carrés, en plans superposés et inter-pénétrés. Parallèlement, depuis la moitié des années 1970, il sculpte des oeuvres en marbre et en bois dans lesquelles il reprend des questions constantes de l'oeuvre picturale. En 2002, il commémore ses 80 ans avec la rétrospective organisée à la Pinacoteca do Estado de São Paulo - Pesp [Pinacothèque de l'Etat de São Paulo].
Ferdinand Hodler
Ferdinand Hodler est un peintre suisse, né le 14 mars 1853 à Berne et mort le 19 mai 1918 à Genève.
Oscar Niemeyer
Oscar Ribeiro de Almeida de Niemeyer Soares (né le 15 décembre 19071 à Rio de Janeiro, où il est mort le 5 décembre 2012) est un architecte et un designer brésilien.
Eduardo Arroyo, représentant de la Nouvelle Figuration
Eduardo Arroyo (né le 26 février 1937 à Madrid) est un peintre, lithographe et décorateur de théâtre espagnol. Ayant quitté l'Espagne franquiste en 1958, il se partage depuis lors entre Madrid et Paris. Proche de Hervé Télémaque, il fut comme lui un des représentants majeurs de la Nouvelle figuration et un des fondateurs du mouvement de la figuration narrative. son style se caractérise par une relative absence de profondeur et une perspective frontale en aplat.
Volti, « Ce qui m’enchante dans un corps de femme, ce sont les rythmes et les volumes. »
Antoniucci Voltigero, dit « Volti », né le 1er janvier 1915 à Albano (Latium), Italie et mort à Paris le 14 décembre 1989 (à 74 ans), est un artiste français d'origine italienne.
Martial Raysse, quelle est sa cote aujourd'hui?
Fils d'artisans céramistes, Martial Raysse choisira la peinture au détriment de l'écriture avant de réaliser ses premiers assemblages de détritus et d'objets divers présentés dans des boîtes de plexiglas. Il développe ensuite son concept "d'hygiène de la vision" à partir objets neufs en plastique de la nouvelle société consumériste: "J'ai voulu un monde neuf, aseptisé, pur et au niveau des techniques utilisées, de plain-pied avec le monde moderne." Il séjournera aux Etats-Unis, se rapprochera du Pop art. L''image sensuelle et artificielle de la femme deviendra la figure principale de ses "Tableaux-Objets" aux couleurs acidulées.
Raysse introduira ensuite le néon dans ses toiles. "J'ai découvert le néon. C'est la couleur vivante, une couleur par delà la couleur ". L'artiste adoptera une démarche de réduction des moyens plastiques et de simplification de la représentation à la fin des années 60. Il fera usage de toutes les techniques de production des images, notamment la photographie et la sérigraphie. La représentation des formes sera progressivement simplifiée à des silhouettes découpées dans du carton, du papier, du tissu pour donner naissance à des "Formes en liberté" proches de l'Art pauvre.
Raysse se tournera vers le cinéma et la vidéo avant d'opérer un retour à des formes d'expression plus traditionnelles dans les années 1970-1980. Il vit et travaille à Issigeac.
André Beaudin
Qui était André Beaudin ?
André Beaudin (né le 3 février 1895 à Mennecy, décédé le 6 juin 1979 est un peintre et sculpteur français appartenant à l'École de Paris, dont l'œuvre s'inscrit dans la suite du cubisme à la limite de la non figuration.
Pierre Soulages et le marché de l'art
Qui était Pierre Soulages ?
Pierre Soulages, né le 24 décembre 1919 à Rodez dans l'Aveyron, est un peintre et graveur français associé depuis la fin des années 1940 à l'art abstrait. Il est particulièrement connu pour son usage des reflets de la couleur « noir », qu'il appelle noir-lumière ou outre-noir. Ayant réalisé plus de 1 500 tableaux qu'il intitule tous du mot « Peinture » suivi de leur format (la date y figure ensuite en tant que complément hors titre, il est un des principaux représentants de la peinture informelle. Suite
Théo TOBIASSE
Théo Tobiasse en savoir plus sur sa vie :
Théo Tobiasse, est né en Israël en 1927. Sa famille qui venait de Lituanie espérait y trouver la terre promise.
L’œuvre de cet artiste est imprégnée de l’exil, de la femme mère-amante, et de réminiscences de l’enfance en Lituanie lorsque ses parents durent y retourner. La datcha dans la verdoyante campagne de Kaletova, les lumières des bateaux à roue pavoisés sur le Niémen, les traîneaux dans les rues enneigées de Kovno, mais aussi les théières rondes et les samovars ventrus, symboles de la chaleur familiale…
Après avoir traversé l’Allemagne, Berlin, Tobiasse arrive à Paris en 1931 où une gare triste et grise l’accueille au petit matin. S’ensuivent les années obscures de l’Occupation nazie où la famille restée cachée pendant deux ans, est malgré tout décimée. A la libération, Tobiasse ne rêve plus que de lumière, de soleil et de ciel immense.
Francesco Marino di Teana, un sculpteur libre
Qui était Marino de Teana ?
Francesco Marino est né en 1920 à Teana, un village de montagne de Basilicate, dans le sud de l'Italie. D'origine très modeste, il part à 16 ans pour l'Argentine où il travaille comme maçon puis comme chef de chantier dans le bâtiment. Il suit des cours du soir à l'Ecole Polytechnique où il se spécialise dans la mécanique industrielle et l'architecture.